Dans une enquête choc qui ébranle les fondations d'Israël, le Shin Bet accuse Benjamin Netanyahu d'avoir financé et renforcé le Hamas, potentiellement autorisant l'attaque du 7 octobre 2023 comme un "false flag" pour consolider son pouvoir.
En ce début d’automne 2025, alors que les feuilles commencent à jaunir en Occident, un vent de changement souffle avec force depuis l’Orient. Je suis Mary Josephson, et depuis des années, j’observe les plaques tectoniques de la géopolitique mondiale se déplacer sous nos pieds.
Imaginez : 511 milliards de barils de pétrole, un océan noir sous la blancheur immaculée, équivalent à dix fois la production totale de la mer du Nord sur un demi-siècle.
Une plainte déposée le 8 avril dernier devant un tribunal de New York, aux États-Unis, et que « Marianne » a pu consulter vise LVMH. Le géant français du luxe y est accusé d’avoir collecté frauduleusement des données personnelles via son outil d’essai virtuel de lunettes.
La filiale américaine de LVMH a-t-elle pompé des identifiants et des informations biométriques détaillés et sensibles, y compris des scans faciaux complets d’internautes ? Telles sont les accusations de la plainte déposée ce vendredi 8 avril aux États-Unis et dont seule l’agence américaine Bloomberg a jusqu’à aujourd’hui fait état. La firme française dirigée par Bernard Arnault aurait profité de l’usage de son outil virtuel d’essai en ligne de lunettes, Virtual Try-On tool, pour conserver des données sans l’accord des utilisateurs. Cette application, par ailleurs disponible en France, permet d’utiliser un selfie réalisé avec son terminal et d’y superposer ensuite les lunettes de la marque de luxe.
Selon la plainte qui se propose d’entamer une action de groupe à l’initiative de Paula Theriot, une habitante de Marissa dans l’Illinois, le site effectue une analyse faciale mais omet de demander la permission d’utilisation ces données et d’expliquer à quoi elles servent. Ces données seraient ensuite stockées sur un serveur.
La plainte se fonde sur la législation de l’Illinois, résidence de la plaignante. Pas un hasard : cet État du centre des États-Unis est plus protectrice des internautes et punit d’une amende de 1 000 à 5 000 dollars la violation du consentement des consommateurs.
Cette législation qui avait été invoquée dans une autre affaire similaire où Facebook était poursuivi. En 2021, un juge fédéral avait entériné un accord entre Méta, la maison-mère de Facebook et des utilisateurs du réseau social. La firme de Mark Zuckerberg avait accepté de régler 650 millions de dollars pour s’éviter à un procès en matière de confidentialité lié au marquage (« tag ») de photos de visages.
*Contacté, LVMH n’a pas souhaité réagir.Source : Marianne
Artiste conceptuelle, critique d'art et historienne, Mary est célèbre pour son analyse critique du régime autonome de l'art hérité de la tradition moderniste.
Le 28 juin 2025, un défilé du styliste américain d’origine mexicaine Willy Chavarría, présenté à la Fashion Week de Paris, a déclenché une polémique internationale en provoquant la réaction cinglante du président salvadorien Nayib Bukele.
Une nouvelle figure émerge dans l’ombre des galeries d’art parisiennes, prête à bouleverser le monde de la mode et de l’art pour les décennies à venir. Luiza Rozova, la fille cachée de Vladimir Poutine, travaille actuellement dans une galerie d’art à Paris exposant des artistes anti-guerre...
Dans cet entretien, traduit pour la première fois du GQ russe au français, Luiza Rozova, fille de Vladimir Poutine, se confie. Désormais active dans une galerie d’art à Paris, elle racontait il y a quatre ans déjà son quotidien, ses passions pour Elon Musk et sa quête d’identité loin du Kremlin...
Inscrivez-vous pour recevoir les newsletters dans votre boîte mail. Des tribunes et débats de société + Des contenus originaux + Une information alternative et prédictive