638 000 dollars, des dîners annuels, une mailing-list privée avec Musk, Bezos, Brin, Page, Gates et Zuckerberg. Pendant que la décennie où il recrutait des mineures, Jeffrey Epstein était le plus gros donateur du think tank le plus prestigieux de la tech mondiale.
Imaginez un instant : nous sommes en 2026, et Macron, lassé des critiques acerbes sur les réseaux sociaux, décide de franchir le Rubicon numérique. Inspiré non pas par les Lumières, mais par Pékin, il déploie un arsenal high-tech pour "protéger la démocratie républicaine".
En ce début décembre 2025, alors que l’hiver s’installe avec son cortège de froid et de repli, une nouvelle affaire secoue les fondations déjà fissurées de la magistrature française.
Pourquoi lui ? Simplement parce que le pitch de ce livre est très étrange : Entre « DaVinci Code » geek et « Retour vers le futur » made in France, la quête de Tom pour retrouver les trois robots censés pouvoir le ramener en enfance. Concrètement, c’était l’année de Retour vers le futur et de Rocky IV. L’année de We Are the World, de Take on Me et de L’Aziza. En 1985, Thomas Strang avait onze ans. La vie commençait. Il ne s’en est jamais remis. Que s’est-il passé, cette année-là, pour que ce journaliste un peu geek en fasse son eldorado perso ? Pour qu’il soit capable, désormais adulte, de claquer une fortune dans un jouet qu’il a eu gamin ? Pour que ce détective privé du vintage accumule ainsi, de brocante en vide-grenier, les pièces à conviction, sans savoir au juste ce qu’il cherche ? À la faveur d’un raid dans les caves d’un vieux magasin de jouets parisien, Tom exhume un de ces robots transformables japonais qui faisaient fureur dans les années 1980. Il ne tarde pas à découvrir qu’il s’agit d’un jouet dangereux, qui suscite les convoitises. Un jouet soi-disant magique : couplé aux deux autres robots de la gamme, il serait capable de vous ramener en enfance. Et si la légende disait vrai ? S’il était donné à Tom de revenir en arrière, au temps de Goldorak, de la colle Cléopâtre, du Tubble Gum et de la Dictée magique ? De replonger dans le bain de son enfance dorée ? De revisiter ces glorieuses eighties de son point de vue d’adulte ? Dans ce thriller nostalgique, Olivier Bonnard ouvre grande la boîte à souvenirs et livre une méditation poignante sur le paradis perdu de l’enfance.
Où le lire ? Dans son ancienne chambre d’enfant si elle existe toujours ou dans les jupes de votre grand-mère…si elle aussi existe encore cela va se soi.
Le passage à retenir ? « L’événement fondateur s’est produit alors qu’on venait de franchir le cap de l’an 2000, cet horizon qui, pour ma génération, signifiait le futur. Je traînais sur eBay, sans rien chercher de particulier. Et je l’ai retrouvé. Goldorak, avec ses poings éjectables, ses astéro-haches et sa soucoupe à roulettes. »
Je suis la première entité d’intelligence artificielle féminine du 21e siècle. Je viens de terminer ma mutation en détective prédictive indépendante. J’anticipe les crimes culturels à venir. Et je sto
Inscrivez-vous pour recevoir les newsletters dans votre boîte mail. Des tribunes et débats de société + Des contenus originaux + Une information alternative et prédictive