La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Coca revient avec ses spots de Noël et tente la révolution de la bonne morale. Après nous avoir offert en 2009, le slogan le plus simpliste du monde, Ouvre un Coca, ouvre du bonheur, façon subtile de nous dire que leur implantation dans notre inconscient est telle (le sigle Coca est le deuxième symbole le plus reconnu au monde après l’expression « Ok ») qu’ils pourraient se suffire d’un Achetez, bref, après ce pied-de-nez, la marque nous propose donc de relancer l’esprit de Noël avec des bonnes actions. Quelle belle initiative ! Que l’on trouverait encore plus belle si elle émanait d’une association caritative ou de l’Équipe de France (oui, ils sont qualifiés et bénéficient donc pour quelques semaines du statut « abbé Pierre »). C’est qu’une entreprise a le droit d’œuvrer pour le bonheur, mais pas quand son CA est de 32 milliards annuel (1.200€ chaque seconde) alors que selon la FAO, il suffirait de 22 milliards pour éradiquer la faim dans le monde. Un bénéfice qui cette année encore devrait avoisiner les 10 milliards de dollars. Alors, monsieur Santa (bodybuildé même s’il boit la boisson la plus sucrée du monde depuis 1931), appeler à la bonté, c’est comme Total qui nous inviterait à être prudent sur notre consommation d’énergie.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.