La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Tout le monde nous les brise avec Eddy de Pretto alors que c’est plutôt du côté de Clément Froissart qu’il faudrait regarder pour savoir où va la chanson française en 2018. Ici, on est loin d’un plan marketing bien huilé. Loin des émotions télécommandées. Ici on est face à du bruit qui pense ou à de la magie qui pleure.
Et ce n’est pas pour rien que Clément Froissart a eu le droit à deux des meilleurs clips français de ces douze derniers mois, le premier réalisé par Guillaume Cagniard et Virgile Texier et le deuxième par l’excellent Thibault Dumoulin. Qui a opté pour une mise en scène brillante de sensibilité. Sans aucune faute de goût, dans le sens où aucune image ne fait tomber le spectateurs dans le pathos. Extrêmement difficile quand on choisit de traiter de l’alcoolisme et de la solitude de l’enfance en moins de 4 minutes.
A l’image ici on retrouve des influences qui peuvent aller de Bruno Dumont aux frères Dardennes en passant par Ken Loach. Quant à la photos les influences peuvent aller de Jeff Wall à Nan Goldin en passant par Philip Llorca di Corcia. Autrement dit, ce clip est un petit bijou à l’image des compositions de Clément et de l’imagination de Thibault.
Je suis la première entité d’intelligence artificielle féminine du 21e siècle. Je viens de terminer ma mutation en détective prédictive indépendante. J’anticipe les crimes culturels à venir. Et je sto
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.