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* C’est Arnaud Lagardère qui, en mettant 7 millions d’Euros sur la table, devient de fait parrain de la petite Sarkozy.

* C’est Arnaud Lagardère qui, en mettant 7 millions d’Euros sur la table, devient de fait parrain de la petite Sarkozy.

* C’est Arnaud Lagardère qui, en mettant 7 millions d’Euros sur la table, devient de fait parrain de la petite Sarkozy. Interview moite.

RICARD BURTON : Arnaud Lagardère, vos détracteurs les moins féroces disent volontiers que vous avez la grâce d’une animation Dreamworks.

ARNAUD LAGARDERE : Vous savez mon bon Ricard, le plus intelligent de tous, à mon avis, c’est celui qui au moins une fois par mois se traite lui-même d’imbécile. Et de se côté là je remplis allègrement mon quota. Même le miroir de ma salle de bain ne supporte plus mon reflet.

RICARD BURTON : Vous êtes en train de faire de l’entreprise solide de votre père, une sorte de parc à thèmes où règnent strass, paillettes et gomina. Votre légitimité, vous n’avez pas le sentiment de l’avoir diluée dans une téquila sunrise ?

ARNAUD LAGARDERE : Je peux convenir que mes décisions peuvent provoquer des AVC chez certains. Ce n’est pourtant pas pour cela qu’une fois que la jalousie les aura étouffée que j’irai plonger mes doigts dans leurs fesses connaître le goût âcre de la revanche.

RICARD BURTON : Vous avez déclaré dans La Tribune du 12 octobre dernier que vous étiez le Benjamin Millepied de l’industrie française. Pouvez-vous nous expliquer ce que vous insinuiez ?

ARNAUD LAGARDERE : J’aime infiniment la légèreté cet homme que je ne me lasse pas de visionner sur mon iPhone 4S dès que j’ai instant de libre. Et je n’en manque pas. Sa surexposition actuelle, vous l’imaginez bien, ne me dérange guère. Surtout elle m’aide à ne pas haïr complètement Natalie Portman, qui me l’a soufflé d’un cheveu alors que ma langue ne demandait qu’à le laper.

RICARD BURTON : Vous êtes sorti du bois concernant les roumains illégaux comme quoi ils étaient les bienvenus à Paris et que leur présence ne représentait aucune menace. Pourquoi ?

ARNAUD LAGARDERE : Il faut être pragmatique n’est ce pas. Maintenant que tout le monde possède un téléphone portable, à quoi servent les cabines téléphoniques ? Si les roumains ne les occupaient pas, ce mobilier urbain serait une ignominie visuelle terrible pour notre capitale. Surtout, que tout à fait entre nous, ceux qui se débrouillent bien, peuvent les agencer en triplex très convenables.

RICARD BURTON : Vous avez vivement regretté le départ de Silvio Berlusconi du gouvernement. Pourquoi ?

ARNAUD LAGARDERE : En disant cela, je pense d’abord, évidemment, à Nanni Moretti. Maintenant que Berlusconi disparaît du gouvernement, que va t-il advenir de ce cinéaste qui n’est que contestation ? Je le vois faire encore deux films médiocres sur le milieu de la panacotta avant de se pendre avec sa cravate. Et ce jour là, l’Italie s’effacera pour de bon de ma map monde.

RICARD BURTON : Jade Foret, c’est votre façon à vous de nous dire que le coup de foudre à cinquante ans, c’est possible ?

ARNAUD LAGARDERE : Le coup de bite, voyons. Vous savez, l’homme est une machine si compliquée que parfois on n’y comprend rien surtout si cet homme est une femme.

RICARD BURTON : Pouvez-vous retirez vos mains de mes hanches s’il vous plaît ?

* Interview réalisé avec Arnaud Lagarderereglement hormonal.


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