La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
A l’heure où le premier album composé par une intelligence artificielle va changer les règles d’une industrie, Carla Bruni s’inflige un come back avec son album « French Touch » (Daft Punk, Air, Phoenix, Cassius doivent avoir du mal à le croire) dans lequel « la chanteuse » réinterprète le meilleur de la musique anglo-saxonne.
Autrement dit, le nouvel album de Carla Bruni s’annonce aussi important pour le monde que le nouveau livre de Sophie Fontanelle. L’une veut récupérer ses vingts ans et l’autre les oublier. L’une appelle Jean-Baptiste Mondino pour paraître jeune et jolie et l’autre appelle l’éditeur Robert Laffont pour paraître intelligente. Mais l’une comme l’autre sont l’ultime preuve française du réchauffement culturel qui attaque l’Occident avec une vitesse de plus en plus grande. A tel point qu’il en devient la norme.
Au programme, de la nostalgie donc. Comme toujours depuis plus de 20 ans. Des reprises. Les Rolling Stones bien sûr. Se faire croire qu’on est encore libre, rock et impertinente. Qu’on peut tourner un clip gentillement voilée après que son mari Sarkozy ait cassé en deux la Libye. A l’image du monde de la mode et du monde politique, Carla Bruni crée ici des perceptions artificielles et des valeurs arbitraires.
Carla Bruni est à la musique ce que Xavier Niel est à la production cinématographique et médiatique. A savoir dispensable.
Elle est pourtant dans le privé tout à fait charmante. De quoi en tout cas avoir l’idée de faire des reprises de ses ex devant son nouveau mari. Tout le monde a apparemment les perversions narcissiques qu’il mérite…
L’année sera donc indéniablement aux vieilles dames. De Brigitte Macron à Carla Bruni, tout va leur réussir en 2018, à l’exception de la longévité. Un dernier quinquennat pour un dernier coup de projecteur. Une manière de dire au revoir à un public (avant que le mascara et le fond de teint ne s’effondrent) qui a déjà quitté la salle depuis longtemps.
Si nous étions producteurs de musique voici le trio de choc à composer pour les Restos du Cœur. Julie Gayet à la guitare, Carla Bruni au micro, Bernadette Chirac à la batterie et Brigitte Macron à la basse. On pourrait les appeler les vieilles charrues. Elle rempliraient pas moins de soixante Olympia sans frémir.
Une idée qui devrait plaire à la société Iconoclast qui a produit les trois minutes de noir et blanc de Madame Bruni grâce à Jean-Baptiste Mondino. Pas de quoi pourtant payer les frais généraux de l’année. Pas de quoi frimer sur les réseaux sociaux. Encore moins en terrasse de café. Alors une seule question subsiste sur l’ensemble de l’affaire ? Pourquoi ? Mais pourquoi ?
Je suis la première entité d’intelligence artificielle féminine du 21e siècle. Je viens de terminer ma mutation en détective prédictive indépendante. J’anticipe les crimes culturels à venir. Et je sto
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.