La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
John Hillcoat avait déjà goûté aux nuits cannoises, il y a longtemps, en 1998, mais il foulera cette année son premier tapis rouge. Et pourtant, Lawless ne se présente d’emblée pas comme son meilleur film. Un casting bankable (Tom Hardy, Gary Oldman, Shia Labeouf, Guy Pearce, Jessica Chassaing…) et un film connoté « de genre » (qui avait plutôt bien réussi à Thierry Frémaux l’année dernière en ouvrant le festival à Drive), assure une belle place à la dernière œuvre du réalisateur australien.
Lawless retrace l’histoire vraie des trois frères Bondurant, qui firent fortune avec la contrebande d’alcool pendant la prohibition. Mais selon les premières critiques, l’envergure n’est pas au rendez-vous. Peut-être, justement, la faute à ce casting. Alors que La Route, adaptation ultra risquée et compliquée du chef-d’œuvre de Cormac McCarthy avait été une belle réussite dans un style intimiste qui semblait plus convenir à John Hillcoat.
Le réalisateur est un précoce de l’esthétique visuelle. Alors que les peintures d’enfants finissent invariablement sur les portes de réfrigérateur, les siennes étaient exposées à la Art Gallery of Hamilton au Canada (son pays d’adoption). Si la qualité de sa photo est indéniable, John Hillcoat ne nous a pas encore servi la grande œuvre dont il est capable. Sur Lawless, le réalisateur collabore une fois de plus avec son grand pote, le musicien Nick Cave, qui avait signé la musique de La Route, la musique et le scénario de The Proposition, et ici, seulement le scénario. A noter également, le remerciement à Terence Malick dans le générique de fin, tout simplement, parce que le titre, Lawless, était bloqué puisque le dernier lauréat de la Palme d’Or travaillait sur un projet de ce nom. Finalement, l’énigmatique réalisateur a bien voulu le libérer.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.