La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Pourquoi lui ? Parce que cette merveilleuse collection rendue accessible en France grâce à Pyramyd Editions apporte un regard ludique et visuel sur les plus grands artistes du XXème siècle. Dont Bacon fait partie. Parce que l’auteur Kitty Hauser nous entraîne à la découverte d’un artiste génial, énigmatique et portraitiste de talent. S’inspirant des images les plus violentes de son siècle, Bacon met en lumière, et en ombres, la condition humaine et sa violence. Parce que Bacon est l’exemple parfait de l’homme autodidacte. Pour donner confiance à la jeune garde issu de milieux défavorisés qui n’a pas eu le privilège d’être membre des grandes écoles d’art. Parce que l’on y apprend comment Bacon, envers et contre tous, s’est fait une place au Panthéon des artistes désormais immortels.
Où le lire ? N’importe où car Bacon était un vrai citoyen du monde. De l’Irlande de son enfance au quartier de Soho en passant par Tanger, Berlin ou Londres. Parce que l’art n’a pas de frontières et que la puissance de l’imaginaire est apatride.
Le passage à retenir par coeur ? » Tout est tellement insignifiant, aimait-il à dire, autant être extraordinaire. »Ses peintures continuent d’exercer une impression singulière sur ceux qui les voient. Elles parviennent à nous émouvoir sans que nous puissions vraiment l’expliquer, et offrent un aperçu de la condition humaine : le « pauvre animal nu et bipède » du Roi Lear. Parfois le courant passe avec le public. Parfois pas du tout. Bacon savait que chaque coup de pinceau, chaque oeuvre pouvait lui valoir un succès retentissant comme un échec cuisant. Il visait l’excellence, et détruit de nombreuses toiles. Répondant à ce qu’il décrivait comme « un lointain appel des temps anciens », il souhaitait que ses oeuvres cohabitent avec celles des grand maîtres, qu’il idolâtrait. Avec ses méthodes insolites et sa formation artistique sommaire, il concluait : « Mon oeuvre finira soit à la National Gallery, soit à la poubelle. »
À qui l’offrir ? Aux galéristes qui demandent encore leurs cv aux jeunes artistes avant de REGARDER leurs oeuvres. A ceux qui pensent que la séparation doit encore être faite entre culture élitiste et culture de masse. Aux observateurs, aux sensibles, aux autodidactes.
Co-fondatrice d’APAR.TV et productrice. Elle conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout
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