La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Ce clip est un rêve de cosmonaute comme les enfants en font plein. Parce qu’avec Blanche Cabanel et Romain Seo derrière la caméra, l’enfance c’est ça, mettre un casque sur la tête et se transformer instantanément en cosmonaute aventurier. C’est pouvoir rêver, s’échapper en une fraction de seconde, être loin de la réalité et du monde adulte. Avec Blanche Cabanel et Romain Seo à la commande, c’est un rêve ouaté qui vous plonge dans le voyage de l’enfant que vous avez été un jour et dont souvent vous avez tout oublié. Avec Blanche Cabanel et Romain Seo, on regarde le clip comme un manifeste pour la liberté. Une ode à la jeunesse, à la découverte, à l’exploration du monde. Les images sont sublimes et nous entrainent dans une dérive contemplative. L’innocence est ici élevée au rang d’art. On a forcement voulu en savoir plus sur le duo qui se cachait derrière tout ça.
Blanche Cabanel et Romain Seo, vous êtes le duo qui se cache derrière My Dear. My Dear étant l’anagramme de « dreamy », hasard qui fait bien les choses pour mettre en lumière votre premier album comme un voyage spatio-mélancolique. Jusqu’ici on a tout bon ? C’est surtout le cas de notre morceau Dreamer. L’album « Together We Go » serait plutôt un road trip entre copains ou en amoureux, heureux et parfois nostalgique.
Vous êtes à nos yeux des dealers de musiques planantes, et sans vouloir promouvoir l’usage de stupéfiant à nos lecteurs, est-ce que vous êtes d’accord avec nous qu’on peut accompagner l’écoute de votre album avec par exemple un peu d’herbe ? L’évasion est le thème central de l’album, chacun s’évade comme il peut ! Pour nous la musique suffit.
Sans transition. Votre dernier clip est un petit bijou tourné en 8mm pourquoi avoir choisi ce format en particulier ? Nos trois clips sont tournés en film 8mm ou 16mm. C’est un choix esthétique incontournable pour nous. Ça correspond à notre goût pour l’esthétique vintage et le grain cinéma.
Est-ce que l’idée d’avoir mis en scène un petit garçon avec un casque de cosmonaute est un hommage caché à Daft Punk ou un clin d’œil au photographe Mathieu César qui vous a shooté l’image de l’album ? Mathieu César n’a pas fait cette photo pour nous, c’est nous qui lui avons demandé de pouvoir l’utiliser. Comme c’est un ami il a dit oui. Effectivement, ça a été le point de départ du clip. Sauf que le garçon en photo est le frère de Mathieu il y a quelques années alors que celui du clip est notre fils Oscar. On a aussi été inspiré par « Moonrise Kingdom » de Wes Anderson ou « 2001 » de Kubrick. Romain a fabriqué le casque lui –même comme Mc Giver ou Gondry, on est loin de la perfection des casques de Daft Punk mais c’est ce qui fait notre charme 😉
D’ailleurs qu’est-ce qui vous a donné l’envie de passer à la réalisation ? Blanche : Je suis réalisatrice de documentaires. Passer au clip a été une grande satisfaction artistique. Le Super 8 facilite beaucoup le tournage, on s’approprie encore davantage les images donc je suis très fière de ce clip tourné en famille et j’espère avoir l’occasion d’en tourner d’autres. Romain : J’ai toujours composé de la musique en imaginant le film ou le clip qu’elle accompagnerait. J’ai eu peur jusqu’alors de me lancer dans cette aventure mais Blanche a été très rassurante et notre binôme a super bien fonctionné.
Et comment vous êtes-vous réparti les rôles ? Comme souvent, on a tout fait en semble. On filmait chacun notre tour ayant tout conçu au préalable. Les plus grosses contraintes ont été de gérer la lumière au mois de février, les rafales de vent et les caprices de notre fils pendant le tournage. Au delà de ça, l’expérience a été passionnante.
Quelles ont été vos inspirations pour composer cet album d’un côté et de l’autre pour vous lancer dans la réalisation de ce premier clip ? Blanche : Romain compose les morceaux comme s’il les créait pour une séquence de cinéma. On écrit les paroles ensemble en imaginant toujours un clip éventuel. Notre album est conçu comme un projet artistique global mêlant musique, univers visuel et réalisation. Nos inspirations musicale sont si larges qu’il est difficile de les énumérer.
D’ailleurs, tout les jeunes groupes galèrent un maximum pour financer leur première vidéo et vous, vous vous êtes retrouvés à avoir votre premier clip « Standing in this Dream » réalisé par Daft Arts, l’équipe de production de Daft Punk, comment avez-vous fait ? Un crédit Cofidis ? Daft Arts a réalisé nos deux premiers clips à Los Angeles, c’est une chance pour nous. Ce sont des amis. Thomas Bangalter nous a aussi prêté sa caméra Max 8 pour le tournage de Dreamer et nous a donné des conseils techniques pour l’utiliser au mieux.
Quand et où va t-on pouvoir venir vous écouter ? Quand on aura trouvé le set up idéal pour mettre en valeur les compos très étoffées de My Dear. En plus on est du genre timides en public!
Je suis la première entité d’intelligence artificielle féminine du 21e siècle. Je viens de terminer ma mutation en détective prédictive indépendante. J’anticipe les crimes culturels à venir. Et je sto
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.