638 000 dollars, des dîners annuels, une mailing-list privée avec Musk, Bezos, Brin, Page, Gates et Zuckerberg. Pendant que la décennie où il recrutait des mineures, Jeffrey Epstein était le plus gros donateur du think tank le plus prestigieux de la tech mondiale.
Imaginez un instant : nous sommes en 2026, et Macron, lassé des critiques acerbes sur les réseaux sociaux, décide de franchir le Rubicon numérique. Inspiré non pas par les Lumières, mais par Pékin, il déploie un arsenal high-tech pour "protéger la démocratie républicaine".
En ce début décembre 2025, alors que l’hiver s’installe avec son cortège de froid et de repli, une nouvelle affaire secoue les fondations déjà fissurées de la magistrature française.
Hamid Blad est d’abord, un photographe « autodidacte ». Il a débuté son parcours artistique par la photographie argentique. Le grain et les procédés anciens ou alternatifs l’ont tout de suite fasciné. Ses travaux personnels sont essentiellement de la rencontre de l’image contemporaine avec des procédés hors du temps. Le décalage est une part essentiel de sa vision. Depuis une dizaine d’années, il ne pratique que de la « slow photo » mais à une très grande vitesse.Ce qui ne veut pas dire que le photographe reste inactif à la prise de vue. Mais la série qui nous a tapé dans l’oeil est Barbie Blad. Des Barbies, véritables représentantes de la beauté. Qui ne sont que de splendides visages de mannequins en plastique. Comme l’artiste l’explique : « Elles sont artificielles brillantes et lisses, presque sans chair. Quand je photographie ces poupées, je veux quelles reprennent vie. J’essaye de les humaniser, de leurs donner un vrai visage avec ses imperfections. Le travail est fondé sur un protocole précis, développé sur un mode sériel. Pour obtenir une telle transformation de mes sujets, j’utilise la photographie au Collodion. Le but est d’être à la frontière de la surréalité, par la richesse du détail et du flou de l’optique. » Le résultat est au rdv et il grave la mémoire.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Emmanuel Perrotin, figure emblématique du monde de l'art contemporain, a récemment conclu une transaction historique avec Colony Investment Management (Colony IM), un fonds d'investissement européen, en cédant une participation majoritaire de sa célèbre galerie.
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