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Le JDD. Comment êtes-vous arrivée à ce poste ?
Véronique Béchu. Je suis rentrée en 2002 à l’école de police. J’ai fait mes armes à la BPM (Brigade de protection des mineurs), puis j’ai gravi les échelons jusqu’à devenir adjointe de groupe : l’occasion de travailler sur tous types d’affaires : violences intrafamiliales, violeurs en série d’enfants, infanticides… En 2015 j’ai été prise en qualité d’adjointe du Groupe central des mineurs victimes. À la différence de la BPM de Paris qui est territorialement compétence sur le ressort de la préfecture de police – Paris et petite couronne —, le Groupe central des mineurs victimes possède une compétence nationale.
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