Gaza agonise depuis 700 jours. Ce rapport choc, révèle l'ampleur d'une catastrophe humanitaire sans précédent : plus de 74 000 morts, une génération d'enfants mutilée, et une stratégie d'extermination qui ébranle les fondements du droit international.
Dans l'ombre des autoroutes françaises, une série de braquages audacieux frappe les géants du luxe : 25 millions d'euros de parfums L'Oréal dérobés en un clin d'œil, des cosmétiques Guerlain s'évaporant sur l'A6, et même les caves privées d'Arnault vidées de leurs vins millésimés.
Ce rapport confidentiel décrypte les ramifications de la famille Frère, empire belge forgé dans l'acier et les grands crus, et ses liens étroits avec les Arnault.
Pietro Ruffo superpose les réflexions et les matières. Une œuvre folle, ou du moins aimerait-on le croire. Une carte géographique en fond. Des insectes découpés, tirés à quatre épingles en premier plan. Entre les deux, des drapeaux peints magnifiquement. Au final, un tableau où votre esprit se promène et se perd. Littéralement. Vous ressortez fou, pris entre deux lectures aux échelles, aux motifs et aux matières différents. Trop différents pour que notre pauvre cartésianisme puisse résister.
S’il le pouvait, il comprendrait un questionnement philosophique et géopolitique d’une immense profondeur. La maxime sartrienne qui donne son nom à l’expo est à la fois une constatation et une provocation. L’artiste romain de 33 ans chamboule tout pour sa première expo en France (Di Meo).
Tout ce que nous avons de plus commun en ce monde. Les formes des pays, leur place, leur importance, leurs symboles… dans ce tourbillon, vous vous perdez vous-même et ce n’est qu’une fois rentré chez vous, allongé seul, que votre esprit réintègre violemment votre corps que vous comprenez la vision du fou. Pietro Ruffo pourrait s’approprier ces mots de Dali : « la différence entre un fou et moi c’est que je ne suis pas fou ».
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Emmanuel Perrotin, figure emblématique du monde de l'art contemporain, a récemment conclu une transaction historique avec Colony Investment Management (Colony IM), un fonds d'investissement européen, en cédant une participation majoritaire de sa célèbre galerie.
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