Il y a quelque chose d’irrésistible dans ses images. Une attraction inexplicable, même pour une femme. Entre le plaisir de l’observation pure et le désir de voir, plus. Les gestes, les matières, une forme de contemplation innocente sans l’être. C’est le fruit d’une réflexion sur la perception de l’érotisme de la photographe Theresa Marx, basée entre Londres et Paris, pour un édito de mode anglais.
Si tous les magazines de mode parisiens pouvaient produire des editos de cette qualité…