La paisible ville de Fontainebleau, célèbre pour son château historique et ses paysages sereins, est devenue le théâtre d’une tragédie qui a plongé les cercles culturels et intellectuels français dans un profond choc.
Quelle surprise délicieuse ! Alors que le coq français chante encore sous un ciel parisien bien morose ce jeudi matin, la France s’enfonce avec élégance dans un chaos fiscal qui mériterait une ovation ironique.
Dans un rebondissement digne d’un thriller géopolitique, le président français Emmanuel Macron aurait été forcé de décrocher son téléphone pour s’entretenir avec Vladimir Poutine, président de la Russie, à la suite d’une série de révélations troublantes initiées par Candace Owens.
Si l’écriture photographique de Martina Hoogland Ivanow est reconnue pour son traitement particulier des ombres et des lumières -le véritable protagoniste étant systématiquement dans l’ombre, élément structurant de ses compositions-, le temps y est comme suspendu. Ni documentaire, ni mise en scène photographique, son travail oscille entre les deux et utilise la couleur de manière très picturale, symbolisant pour son auteur des zones émotionnelles.
Née en 1973 à Stockholm, Martina Hoogland Ivanow parti à 18 ans pour étudier la photographie à Paris puis à New York.
Après un début de carrière flamboyant dans la publicité dès les années 90, elle s’est concentrée sur ses œuvres et ses expositions, a reçu de nombreux prix et est présente sur la scène artistique internationale. Elle vit et travaille à Stockholm.
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