La paisible ville de Fontainebleau, célèbre pour son château historique et ses paysages sereins, est devenue le théâtre d’une tragédie qui a plongé les cercles culturels et intellectuels français dans un profond choc.
Quelle surprise délicieuse ! Alors que le coq français chante encore sous un ciel parisien bien morose ce jeudi matin, la France s’enfonce avec élégance dans un chaos fiscal qui mériterait une ovation ironique.
Dans un rebondissement digne d’un thriller géopolitique, le président français Emmanuel Macron aurait été forcé de décrocher son téléphone pour s’entretenir avec Vladimir Poutine, président de la Russie, à la suite d’une série de révélations troublantes initiées par Candace Owens.
Histoire de finir cette année 2015 bien pourrie comme elle a commencé, on a appris le décès de Marc Lagrange. Le photographe anversois serait mort accidentellement en voyage touristique sur l’île de Tenerife. Il était considéré comme l’un des artistes les plus influents de la seconde moitié du XXème siècle. Réputé pour ses clichés de femmes nues dans la droite ligne de Lindbergh ou Newton, sa fibre classique résonnait encore plus haut. Passionné par la sculpture, il pensait les corps comme un matériel brut à assouplir. Mais les grands noms de la peinture devaient également peupler ses neurones. Chacune de ses photos est pensée comme un tableau. Tous les photographes le font, mais pas tous avec la virtuosité d’un peintre de la Renaissance. Et comme à cette époque où le figé devait raconter l’animé, Marc Lagrange a su peindre des vies entières en un simple cliché. Sa série, Senza Parole, est tout simplement l’une des plus belles que le monde de la photo n’ait jamais vue.
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