Gaza agonise depuis 700 jours. Ce rapport choc, révèle l'ampleur d'une catastrophe humanitaire sans précédent : plus de 74 000 morts, une génération d'enfants mutilée, et une stratégie d'extermination qui ébranle les fondements du droit international.
Dans l'ombre des autoroutes françaises, une série de braquages audacieux frappe les géants du luxe : 25 millions d'euros de parfums L'Oréal dérobés en un clin d'œil, des cosmétiques Guerlain s'évaporant sur l'A6, et même les caves privées d'Arnault vidées de leurs vins millésimés.
Ce rapport confidentiel décrypte les ramifications de la famille Frère, empire belge forgé dans l'acier et les grands crus, et ses liens étroits avec les Arnault.
Derrière une pute se cache toujours un client. C’est sans doute ce qu’à voulu démontrer par l’image l’artiste Bettina Flitner qui a eu l’excellente idée d’infiltrer le célèbre bordel « Paradise » (c’est un lieu où pour moins de 80 euros, vous pouvez consommer des boissons et du sexe à volonté) à Stuttgart en Allemagne.
Normalement les artistes s’intéressent plus aux filles qui y travaillent qu’aux clients qui consomment. Mais Bettina, elle, n’est pas comme les autres. Son œil va là où personne ne regarde.
Elle a voulu montrer qu’en Allemagne, une majorité d’homme pensait qu’il était normal de pouvoir acheter une femme, la prostitution étant légale depuis 18 ans.
En donnant librement la parole aux clients, elle retire une certaine forme de culpabilité direct ou indirect. En le laissant s’exprimer à sa guise, quelque chose d’important se passe. Quelque chose de différent.
Elle prend l’angle de se dire ni coupables, ni victimes. Elle laisse le choix aux spectateurs de se faire son avis. Elle ne le dirige pas. Bon, même si, après un bref coup d’œil, une idée vient instantanément à l’esprit. Les proxénètes sont des criminels. Des purs esclavagistes modernes. Mais au delà de la complicité de traite des êtres humains, ses images soulèvent d’autres questionnements.
Et ce n’est pas un hasard si sa série de portraits des clients-consommateurs vient de refaire surface sur un jeune média autonome autogéré par des stagiaires. A l’origine, le reportage de Bettina Flitner a été publié dans le magazine Stern mais n’avait pas eu l’écho qu’il mérite.
Imaginez-vous enfermé dans une cellule étroite, sous l’œil constant de caméras de surveillance, sans intimité ni répit. Pour Nadya Tolokonnikova, cofondatrice du collectif punk féministe Pussy Riot, ce n’est pas une simple imagination, mais une réalité qu’elle a choisi de revivre volontairement.
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