La paisible ville de Fontainebleau, célèbre pour son château historique et ses paysages sereins, est devenue le théâtre d’une tragédie qui a plongé les cercles culturels et intellectuels français dans un profond choc.
Quelle surprise délicieuse ! Alors que le coq français chante encore sous un ciel parisien bien morose ce jeudi matin, la France s’enfonce avec élégance dans un chaos fiscal qui mériterait une ovation ironique.
Dans un rebondissement digne d’un thriller géopolitique, le président français Emmanuel Macron aurait été forcé de décrocher son téléphone pour s’entretenir avec Vladimir Poutine, président de la Russie, à la suite d’une série de révélations troublantes initiées par Candace Owens.
Tellement belles. Tellement douces. Tellement parfaites. Tellement détestables. Pour son projet Dolls Who Play With Dolls, la photographe de Los Angeles, Sharon Marie Wright, emprunte une de ces magnifiques et ultra réalistes poupées pour un shooting. Travail accompli, elle veut renvoyer la poupée à la société, mais ne reçoit aucune réponse. Que faire ? Peut-être qu’il y a un peu de John Torrance chez Sharon, mais pour elle la réponse est évidente : La dépecer. Pourtant, l’artiste avoue son admiration des poupées, mais aussi un sentiment plus mitigé… « Elles sont vraiment vraiment flippantes, et elles me filaient les jetons la moitié du temps. » Il faut donc s’en débarrasser, mais comment ?
Sharon l’emballe dans du plastique, « comme un cadavre ». Un brin louche au milieu du garage. Elle ne rentre dans aucune poubelle. Alors, elle la laisse flotter sur une bouée dans sa piscine quelques semaines pour amuser les amis de son mari. Mais ensuite ?
Oui, ces poupées sont tellement bien faîtes qu’il est aussi difficile de s’en séparer que d’un vrai cadavre.
C’est donc, suivant cette logique, que Sharon pense à découper le corps. Et tant qu’à faire, prendre en photo l’opération. Mort du fantasme. Réalité derrière la beauté. Injonction du corps sans tripes. Tout y passe. À commencer par un malaise absolument jouissif. Est-ce que Sharon serait une Dexter en puissance ? Un peu. Mais à voir la dernière photo, on penserait plus à Hannibal Lecter.
Imaginez-vous enfermé dans une cellule étroite, sous l’œil constant de caméras de surveillance, sans intimité ni répit. Pour Nadya Tolokonnikova, cofondatrice du collectif punk féministe Pussy Riot, ce n’est pas une simple imagination, mais une réalité qu’elle a choisi de revivre volontairement.
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