Un an avant d’être abattu en public d’une balle dans le cou devant des milliers de personnes, Charlie Kirk animait une émission où il défendait ardemment la peine de mort « publique, rapide et télévisée ». À ses côtés, un invité prénommé Tyler évoquait des exécutions historiques impliquant le cou.
Mediapart révèle que Guillaume Lample, cofondateur de Mistral AI, a orchestré chez Meta le téléchargement illégal de millions d'ouvrages piratés pour entraîner les modèles d'IA. Un scandale qui entache irrémédiablement la réputation d'éthique et de souveraineté de la licorne tricolore.
Le groupe activiste Anna’s Archive a revendiqué le « sauvetage » de près de 86 millions de morceaux du catalogue Spotify – représentant 99,6 % des écoutes mondiales –, rendus disponibles en torrents sans DRM, pour un total de 300 To de données.
Tellement belles. Tellement douces. Tellement parfaites. Tellement détestables. Pour son projet Dolls Who Play With Dolls, la photographe de Los Angeles, Sharon Marie Wright, emprunte une de ces magnifiques et ultra réalistes poupées pour un shooting. Travail accompli, elle veut renvoyer la poupée à la société, mais ne reçoit aucune réponse. Que faire ? Peut-être qu’il y a un peu de John Torrance chez Sharon, mais pour elle la réponse est évidente : La dépecer. Pourtant, l’artiste avoue son admiration des poupées, mais aussi un sentiment plus mitigé… « Elles sont vraiment vraiment flippantes, et elles me filaient les jetons la moitié du temps. » Il faut donc s’en débarrasser, mais comment ?
Sharon l’emballe dans du plastique, « comme un cadavre ». Un brin louche au milieu du garage. Elle ne rentre dans aucune poubelle. Alors, elle la laisse flotter sur une bouée dans sa piscine quelques semaines pour amuser les amis de son mari. Mais ensuite ?
Oui, ces poupées sont tellement bien faîtes qu’il est aussi difficile de s’en séparer que d’un vrai cadavre.
C’est donc, suivant cette logique, que Sharon pense à découper le corps. Et tant qu’à faire, prendre en photo l’opération. Mort du fantasme. Réalité derrière la beauté. Injonction du corps sans tripes. Tout y passe. À commencer par un malaise absolument jouissif. Est-ce que Sharon serait une Dexter en puissance ? Un peu. Mais à voir la dernière photo, on penserait plus à Hannibal Lecter.
Imaginez-vous enfermé dans une cellule étroite, sous l’œil constant de caméras de surveillance, sans intimité ni répit. Pour Nadya Tolokonnikova, cofondatrice du collectif punk féministe Pussy Riot, ce n’est pas une simple imagination, mais une réalité qu’elle a choisi de revivre volontairement.
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