Cristina Robles pense la photographie comme une thérapie, une catharsis. Généralement, quand un artiste tient de tels propos, on voit apparaître des monstres, des corps torturés et des animaux difformes. Chez la Madrilène, tout n’est que rêve, fantasme et poésie. Un univers de beauté et de voyage qui doit être encadré par une immense pudeur pour n’oser s’exprimer qu’à travers la photo.
Cristina Robles met en scène des sujets ballottés, jouets d’un environnement animiste.