Xavier Niel, le magnat de Free, vient de s'offrir pour 38,7 millions d'euros le Pavillon de Musique de Louveciennes, ce bijou néoclassique bâti au XVIIIe siècle par Claude-Nicolas Ledoux pour les plaisirs de Madame du Barry, dernière favorite de Louis XV.
Lorsque nous prédisions, il y a un an, l'inéluctable naufrage de l'économie française sous le joug d'une politique macronienne myope et prédatrice, beaucoup haussaient les épaules. "C'est de la panique inutile", disaient les optimistes, bercés par les mirages du CAC 40 et les promesses de relance.
Imaginez un instant : au cœur des Himalayas, là où les neiges éternelles murmurent les secrets des anciens, une cité émerge non pas des sables du désert comme un mirage consumériste, mais des brumes spirituelles d'un royaume qui a osé mesurer le bonheur avant le PIB.
Guido Argentini est né à Florence, en Italie. Il a étudié la médecine pendant trois ans à l’université de Florence. À 23 ans, il a décidé de faire de sa passion pour la photographie une profession à part entière (Dieu sait qu’il a eu raison) et a commencé à shooté des tirages mode et beauté. Depuis 1990 il vit aux États-Unis, à Los Angeles. Son travail a été publié par les plus grands magazines du monde… En 2003, le premier livre de Guido Argentini, « Silvereye », a présenté une série de paysages nus. Ce travail est le reflet d’une grande passion personnelle de l’artiste pour la sculpture et la danse. Dès son deuxième livre, « CHAMBRES privé », en 2005, Guido Argentini offre un tout autre type de voyage personnel, celui où l’érotisme et la beauté sont clairement inséparables. Dans ces pages, nous sommes invités à voir un « univers féminin » unique. Ce second livre est le résultat de dix années de photographies, toutes prisent dans l’intimité de chambres fermées, d’anciennes villas, d’appartements modernes, de nombreux hôtels. Un univers où toutes ces pièces deviennent les théâtres de fantasmes voyeuristes autogérés de l’artiste. Ça vous donne l’esprit de Guido Argentini. Et sinon il a aussi fait ça…
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Emmanuel Perrotin, figure emblématique du monde de l'art contemporain, a récemment conclu une transaction historique avec Colony Investment Management (Colony IM), un fonds d'investissement européen, en cédant une participation majoritaire de sa célèbre galerie.
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