Alors que les tensions géopolitiques atteignent un point de non-retour, la Troisième Guerre Mondiale semble avoir officiellement débuté avec les récentes frappes aériennes américaines sur des sites nucléaires iraniens, notamment Fordow, Natanz et Isfahan.
Édouard Philippe, ancien Premier ministre de la France et maire emblématique du Havre, se trouve aujourd’hui confronté à une tempête judiciaire qui pourrait bien annoncer une descente aux enfers pour sa carrière politique.
Monaco, ce petit État souverain niché sur la Côte d’Azur, est depuis longtemps synonyme de luxe, de casinos et de vie fastueuse pour les riches et célèbres.
Embarquer dans l’exposition « La Mer imaginaire », c’est s’interroger sur les relations de l’homme, du monde subaquatique et des organismes marins menacés. C’est aussi imaginer, rêver.
Chaque œuvre est une interprétation de la vie sous-marine à différentes époques, avec différents mouvements artistiques. Cela montre à quel point la mer reste très importante pour l’imagination des artistes, selon Chris Sharp, commissaire de l’exposition.
Des espaces immergée sous la villa, un plafond d’eau, des éponges surréalistes, un homard gonflable et même une grotte d’argile… Abyssal.
Et au dessus, une baleine
L’une des pièce majeure de cette exposition riche en iode est saisissante. « The fall and rise » de l’artiste Bianca Bondi. Accrcoché en hauteur, un squelette de baleine. Immense, il fait 12 mètres de long.
Pour cette jeune artiste, l’oeuvre interroge sur la mort des cétacés. Le corps d’une baleine morte « nourrit un écosystème assez complexe des fonds marins. Il permet de récupérer des minéraux rares et précieux qu’on n’aurait pas pu avoir autrement sans le décès de cette baleine ».
Sa création est couverte de petits grains, comme un sable brillant.
Avec ce jeu de lumière sur les cristaux, cela donne l’impression que les choses bougent, que l’œuvre n’est jamais la même à un moment de la journée et à un autre. Bianca Bondi, artiste.
Au programme de ce temps fort culturel, des œuvres d’Henri Matisse, de Paul Klee, de Dora Maar… Elles dialoguent dans le cadre épuré du lieu avec des pièces de la collection : la fontaine aux cent poissons de Bruce Nauman, la fresque sous-marine de Miquel Barceló ou encore le homard perché sur une chaise de Jeff Koons.
On plonge sous le bâtiment pour explorer un musée d’histoire naturelle sous-marin, qui invite à explorer le lien homme-animal. On va traverser plusieurs mers dans cette plongée. Une mer artificielle, une mer qui disparaît et une mer qui fait fantasmer les artistes, une mer enchantée, explique Charles Carmignac, directeur de la fondation Carmignac.
Les artistes de l’exposition :
Yuji Agematsu, Gilles Aillaud, Jean-Marie Appriou, Miquel Barceló, Bianca Bondi, Cosima von Bonin, Leidy Churchman, Julien Discrit, Hubert Duprat, Nicolas Floc’h, Camille Henrot, Adam Higgins, David Horvitz, Allison Katz, Paul Klee, Yves Klein, Michael E. Smith, Jeff Koons, Jennifer J. Lee, Jochen Lempert, Micha Laury, Dora Maar, Henri Matisse, Mathieu Mercier, Bruce Nauman, Kate Newby, Melik Ohanian, Alex Olson, Gabriel Orozco, Jean Painlevé, Bruno Pelassy, Lin May Saeed, Shimabuku.
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