Moins de 24 heures après l'attentat fatal contre Charlie Kirk, Benjamin Netanyahu envahit les ondes US avec une empathie surjouée, inédite pour un dirigeant qui snobe les 41 000 victimes de Gaza. Pourquoi cette "alarme à l'œil" sélective ? Notre rapport confidentiel démonte les faux-semblants...
Gaza agonise depuis 700 jours. Ce rapport choc, révèle l'ampleur d'une catastrophe humanitaire sans précédent : plus de 74 000 morts, une génération d'enfants mutilée, et une stratégie d'extermination qui ébranle les fondements du droit international.
Dans l'ombre des autoroutes françaises, une série de braquages audacieux frappe les géants du luxe : 25 millions d'euros de parfums L'Oréal dérobés en un clin d'œil, des cosmétiques Guerlain s'évaporant sur l'A6, et même les caves privées d'Arnault vidées de leurs vins millésimés.
L’exposition Pop Life : Art in a Material World vise à offrir une relecture du Pop Art et de son héritage. Autrement dit, un cocktail explosif de publicité, de commerce et de glamour. Le propos de l’exposition est de prendre au mot la célèbre provocation d’Andy Warhol selon laquelle ‘good business is the best art’ (‘le bon business est le meilleur art’) et d’en évaluer toutes les implications.
Elle se penche sur la façon dont les artistes, à partir des années 80, ont délibérément créé leur propre label, s’engagèrent dans leur auto promotion et développèrent des stratégies autour des médias de masses, de la célébrité, et de leur propre personne.
Un point d’honneur est consacré aux « YBA » (Young British Artists). Des pièces du bric-à-brac de la boutique de Tracey Emin et de Sarah Lucas à Bethnal Green où les deux plasticiennes créaient et vendaient jusqu’aux œuvres qui firent date tel que le « Pop 1993 » de Gavin Turk.
Depuis 30 ans certains artistes ont investi les médias, se profilant comme des people avec des œuvres spectaculaires, voire choquantes, ou plus simplement en épousant d’autres people… Comment leur signature est devenue une marque. Avec des œuvres de Tracey Emin, Keith Haring, Damien Hirst, Martin Kippenberger, Jeff Koons, Takashi Murakami et Richard Prince. Extrait :
Dirty – Jeff on Top by US artist Jeff Koons
Jeff Koons posing next to his work Rabbit (1986)
Japanese artist Takashi Murakami poses with his artwork Hiropon
Takashi Murakami poses by his work, Kirsten Dunst & McG & Me
Ingo, Torsten, a recreation of a 1992 installation by Damien Hirst in which identical twins sit beneath two spot paintings
Damien Hirst’s False Idol, a calf preserved in formaldehyde
Maurizio Cattelan’s work, Untitled
Polish artist Piotr Uklanski’s work, The Nazis
Jacket by Tracey Emin and Sarah Lucas
A visitor stands inside a recreation of the late artist Keith Haring’s ‘Pop Shop’ which opened in New York in 1986 to sell branded merchandise with his signature
A visitor looks at Pop (1993) by Gavin Turk
Pop Life. Art in a material world, à la Tate Modern , Londres, jusqu’au 17 janvier 2010, puis à la Kunsthalle de Hambourg, du 6 février au 9 mai 2010, et à la National Gallery of Canada, à Ottawa, du 11 juin au 19 septembre 2010.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Emmanuel Perrotin, figure emblématique du monde de l'art contemporain, a récemment conclu une transaction historique avec Colony Investment Management (Colony IM), un fonds d'investissement européen, en cédant une participation majoritaire de sa célèbre galerie.
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