La danseuse tokyoïte, Sonoya Mizuno, enlaçant un python albinos, devant la caméra de Can Evgin. Un concept lunaire et ultra érotique, mais surtout une esthétique imparable. L’animal phallique par excellence, doublé d’une pathologie à la fantasmagorie magique, s’entortillant autour d’un corps marqué par la grâce, la scène ressemble à un opéra gothique.