De Coluche à la gabegie, les Restos du Cœur, croulent sous les scandales. Un bénévole détourne 25 000 euros de vivres pour un club libertin, un autre invente une agression islamiste, tandis que l'asso dramatise une "crise" pour empocher des dons records... et dégager un excédent de 22 millions.
Dans un procès surréaliste où dix citoyens ordinaires – un prof de sport, une maman aux fins de mois difficiles, un élu de village – sont traînés au pilori pour deux tweets osés, les médias français s’unissent en meute impitoyable, de Libération à CNews.
Révélations sur les pressions exercées par l'entourage présidentiel et les réseaux du luxe pour écarter Aya Nakamura de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques, avant un revirement opportuniste d'Emmanuel Macron.
Quand on découvre le site d’Aurel Schmidt, les premiers mots qui apparaissent sont « Never be afraid to be yourself ». On pourrait croire à un effet de style en découvrant le physique et le look de cette jeune artiste qui aime à s’exhiber comme une petite fleur fraiche qui aurait trop lu les livres de Bukowski. Mais ces mots sont bien les siens, et ses images le prouvent. Une image vaut mille mots paraît-il mais il est impossible de s’arrêter à la première impression lorsque l’on découvre le travail d’Aurel Schmidt. Un peu comme la femme qui découvre son amant, on se laisse aller, petit à petit et son univers est plein de surprises. Collages, dessins, créatures on passe du tout au rien et inversement. Des bananes qui se découvrent pour être plus que mangées, des vagins qui naissent dans des choux, des brûlures, des pastels, des déchirures de plomb. On erre entre douceur et violence visuelle. Un petit quelque chose d’Hans Bellmer en font une des artistes à double réputation. Underground avec beaucoup de style, et académique érotique. Du Molinier pour la tristesse, de la noirceur dans ses intentions mais une féroce envie d’illustrer le monde comme une petite fille en manque. Aurel Schmidt s’exprime à travers le sexe et les crayons de couleurs, la vie rêvée des « sweet babes » made in US et les bas-fonds de la contre-culture américaine qu’elle n’a pourtant pas connue. Ses couleurs sont sans prétentions, mais comme le disait Aragon, « l’avenir de l’homme, c’est la femme. Elle est la couleur de son âme ».
Cécile Montigny conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout.
Emmanuel Perrotin, figure emblématique du monde de l'art contemporain, a récemment conclu une transaction historique avec Colony Investment Management (Colony IM), un fonds d'investissement européen, en cédant une participation majoritaire de sa célèbre galerie.
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