Née en Norvège, Anja Niemi a grandit entre Londres, Paris et New-York. Beaucoup de ses photos sont des auto-portraits, dans un style cinématographique, au moins, hitchcockien, au mieux.
Ses sujets sont superficiels, mais leurs mises en scène révèle quelque chose de cachée, quelque chose qui craque l’esthétique parfaite. Comme une obscénité qu’on appellerait vérité.
Une esthétique qui ne va pas sans rappeler le travail d’Alex Prager.