Nous n’avons aucune objectivité sur ce film. Avant même la première image, nous étions conquis. Non pas, par cette home où l’on comprend qu’une nomination de plus et le films disparaît derrière les reconnaissance, mais par la phrase en exergue. Tyler Durden. Symbole d’une génération. Anti-consumériste, schizophrénie, besoin de violence pour se sentir vivre dans une société nihiliste. Et surtout, fictif. Le Ché des trentenaires.
Bref, Dip N’Dance nous parle d’un consommateur, accroc au domotique, bouffé par le matériel. Non. Il s’agit plutôt d’un propos marxiste contre le sens de la propriété. Non. En fait, nous sommes devant un cas de quadra en pleine midlife crisis, trip Dorian Gray. Non. Ce serait plutôt un brûlot contre le dandisme suranné.
On n’en sait trop rien en fait. Il faudrait demander à Hugo Cierzniak qui signe ici un film à l’animation atemporelle, multistylistique.