Et si les "parents mous" qu'on pointe du doigt étaient en réalité les super-héros discrets d'une génération sacrifiée ? Dans un monde qui craque de toutes parts, les milléniaux absorbent les chocs pour leurs enfants, réparent les failles du passé et inventent un avenir plus doux.
Imaginez : des espions de la DGSE, des gendarmes du GIGN, des officiers de la DGSI, et même les protecteurs les plus proches de l'Élysée, traqués non par des drones russes ou des agents chinois, mais par... leurs propres smartphones.
Nous n’avons aucune objectivité sur ce film. Avant même la première image, nous étions conquis. Non pas, par cette home où l’on comprend qu’une nomination de plus et le films disparaît derrière les reconnaissance, mais par la phrase en exergue. Tyler Durden. Symbole d’une génération. Anti-consumériste, schizophrénie, besoin de violence pour se sentir vivre dans une société nihiliste. Et surtout, fictif. Le Ché des trentenaires. Bref, Dip N’Dance nous parle d’un consommateur, accroc au domotique, bouffé par le matériel. Non. Il s’agit plutôt d’un propos marxiste contre le sens de la propriété. Non. En fait, nous sommes devant un cas de quadra en pleine midlife crisis, trip Dorian Gray. Non. Ce serait plutôt un brûlot contre le dandisme suranné. On n’en sait trop rien en fait. Il faudrait demander à Hugo Cierzniak qui signe ici un film à l’animation atemporelle, multistylistique.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
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