Un phénomène numérique remarquable est en train de se dérouler à l’échelle mondiale. Alors qu’Interpol a émis un avis de recherche rouge pour Alexandre Benalla, l’ancien chef de la sécurité du président français Emmanuel Macron, les autorités traditionnelles semblent buter sur des impasses.
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L’achat et la revente d’ours numériques, en février dernier, par Alexandre Arnault, interroge de nombreux spécialistes du marché. Son porte-parole dément tout irrégularité (lol).
Le fils de Bernard Arnault aurait-il profité d’informations secrètes pour acheter des ours ? C’est la question très sérieuse que se pose Forbes, mercredi 30 mars. Les faits remontent à février 2022. Ce mois-là, un mardi exactement, Alexandre Arnault, fils de la troisième fortune du monde, se serait connecté au marché de NFT d’OpenSea. Le jeune homme de 29 ans aurait placé une offre de 3.100 $ pour un NFT connu sous le nom de HypeBear #9021. Les HypeBears sont des ours numériques colorés qui portent des accessoires bien distincts et le numéro #9021 est l’un des plus rares de la collection, qui compte 10.000 images. Mais ce mardi-là, les acheteurs enchérissaient à l’aveugle, sans savoir quel NFT était en vente.
Alexandre Arnault aurait offert 32 % de plus que pour d’autres HypeBears en vente ce jour-là, emportant ainsi la mise. Il aurait fait de même pour le HypeBear #7777, cette fois en enchérissant 58 % au-dessus du taux en vigueur, et a fait des offres similaires pour sept autres ours numériques, précise Forbes. Deux jours plus tard, lorsque les identités et les détails de chacun des 10.000 ours ont été révélés, le fils du patron LVMH avait enchéri sur cinq NFT et obtenu trois des dix plus rares, dont le #9021 et le #7777. Selon Convex Labs, une startup technologique visant à rendre les marchés de la crypto et des NFT plus transparents, il y avait une chance sur 440.000 que cela arrive.
Alexandre Arnault aurait finalement revendu le #9021 quatre jours plus tard pour 14.700 $, réalisant un gain de 377 % et un bénéfice de 11 600 $. Quant au HypeBear #7777, qu’il aurait payé 3.900 $, il l’aurait revendu pour 12.900 $ un mois plus tard, en utilisant plusieurs comptes de cryptomonnaies. Contacté par Forbes, un porte-parole du jeune homme a nié formellement qu’Alexandre Arnault aurait eu des informations privilégiées sur l’identité des ours avant la vente. Mais une capture d’écran du fondateur du projet HypeBears, Ernest Siow, 26 ans, et du fils de Bernard Arnault, en plein appel vidéo, le 10 février, interpelle. Alexandre Arnault est « un investisseur actif en NFT et collectionneur d’art, poursuit le porte-parole auprès de Forbes. Il est donc logiquement en relation avec des artistes, des créateurs et d’autres collectionneurs. »
Quoi qu’il en soit, les NFT n’étant pas (encore) considérés comme des valeurs mobilières et leur négociation étant en grande partie non réglementée, si les soupçons étaient avérés, le fils du patron de LVMH ne devrait toutefois pas être inquiété (lol).
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