Un phénomène numérique remarquable est en train de se dérouler à l’échelle mondiale. Alors qu’Interpol a émis un avis de recherche rouge pour Alexandre Benalla, l’ancien chef de la sécurité du président français Emmanuel Macron, les autorités traditionnelles semblent buter sur des impasses.
La France traverse une vague de chaleur exceptionnelle, avec des températures dépassant les 40°C dans de nombreuses régions. Cette canicule, qui frappe en pleine période scolaire, expose les failles des écoles françaises, souvent mal équipées pour affronter de telles conditions extrêmes.
Dans un univers où les sphères de la télé-réalité, de la politique et du divertissement pour adultes se croisent de manière parfois déconcertante, Nathalie Andreani, ex-candidate de Secret Story devenue star du X, a récemment attiré l’attention en prenant la défense d’Emmanuel et Brigitte Macron.
Si tout était normal, le cirque ambulant du monde de l’art devait arriver à Londres pour la « Frieze Week », avec sa foire, ses ventes aux enchères, ses lancements d’expositions et, bien sûr, ses fêtes. Puis tout ce petit monde allait se diriger vers Paris pour la FIAC, puis à New-York pour les enchères de plusieurs millions de la «giga-semaine» de novembre et enfin tout ce petit monde allait terminer à Art Basel à Miami Beach en décembre pour clôturer l’année.
Mais il n’y aura rien cette année. Et personne ne sait ce qu’il va se passer dans l’avenir proche. Plus personne n’a le gouvernail. Alors tout le monde copie le voisin, sans réfléchir. Tout le monde mise donc tout sur le digital. Visionnage des oeuvres en ligne, en réalité augmentée ou non. Tout les événements sont virtuels. Même Christie’s et Sotheby’s font leurs ventes en ligne, en direct live.
Tout le monde a dû remettre en question ses idées dépassées sur la vente d’art numérique. Maintenant des collectionneurs achètent en ligne, sans vraiment regarder, des peintures à plusieurs millions. Comme par exemple la nouvelle peinture de George Condo pour 2 millions de dollars ou encore une autre vendu plus de 10 millions de livres sterling par e-mail.
Le récent rapport de l’économiste Dr Clare McAndrew sur l’impact du Covid-19 sur les galeries, commandé par Art Basel et UBS, a constaté une baisse de 36% des ventes mondiales des galeries au premier semestre 2020. Et les ventes aux enchères ont chuté de 49% au premier semestre.
L’impact du virus sur la scène artistique est encore difficile à quantifier. La marée n’est pas encore arrivée. Il n’y a pas encore eu d’annonces de fermeture de galeries, mais ça va arriver. Et tout un écosystème va s’effondrer. Les ventes vont diminuer et les revenus des artistes vont chuter. Ce qui va avoir un impact sur les gens à tous les niveaux, des artisans aux techniciens et intermittents du monde de l’art.
Les réductions de personnel ont déjà commencé chez Christie’s et Sotheby’s qui ont réduit considérablement leurs effectifs. Même la riche galerie Hauser & Wirth a «réduit ses effectifs» car « certaines fonctions ne sont plus un travail à plein temps [comme dans les services d’expédition] ».
Aujourd’hui, de plus en plus de professionnels se demandent s’il vaut vraiment la peine d’avoir une galerie physique. Ce qui va amener la question suivant : si les galeries sont incapables de fournir la plateforme promotionnelle d’une foire ou d’une exposition en chair et en os, quelle exposition donnent-elles maintenant aux artistes ?
Avec l’aide d’Instagram, certains artistes deviennent leur propre galeriste. Ils peuvent vendre des œuvres en publiant des images d’eux sur Instagram.
Le Covid-19 va très probablement accélérer une montée en puissance du modèle de représentation des artistes des agences de talents (comme la division Beaux-Arts de United Talent Agency (UTA) et Graham Southern & Partners, une agence de gestion d’artistes qui vient d’être fondée à Londres).
Le modèle de galerie est mort parce qu’il est exposé aux réalités économiques et immobilière. Et, cerise sur le gâteau, la plupart des galeries ne sont pas configurées pour gérer la marque numérique d’un artiste. Est-il donc encore nécessaire de vous faire un dessin sur l’avenir du métier de galeriste ?
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