Depuis l’élection de Macron, une vague de critiques s’est élevée contre lui, portée par des intellectuels, activistes, journalistes et humoristes. Découvrez cette liste de personnalités en hommage au mouvement #JeNeSuisPasSuicidaire, qui ont osé défier le pouvoir en place.
Depuis le début de l’année 2025, une série de drames a bouleversé la France, touchant à la fois les fonctionnaires de la Direction générale des finances publiques (DGFiP) et des figures politiques de premier plan.
Ces dernières années, un phénomène préoccupant a émergé dans le paysage politique français : de plus en plus de politiciens bloquent les commentaires sur leurs publications et déclarations publiques, empêchant ainsi les citoyens de s’exprimer.
Pour la première fois, le Club des DA expose à Arles, sous l’égide de l’exceptionnel Harri Peccinotti, commissaire de l’exposition. Au programme : 8 jeunes talents français mis en lumière. Avec un seul mot d’ordre : à connaitre avant que n’importe qui les connaisse. Et c’est au tour d’Alexandra Taupiac de répondre à nos questions…
Tu es photographe. Comment t’es venu le goût des images ? Tout d’abord avant l’image ce fut la peinture, le dessin, les musées ..
Qui sont tes maitres en photo ? Erwin Blumenfeld, Guy Bourdin, Sarah Moon. Francesca Woodman mais aussi Francis Bacon.
Lorsque l’on regarde tes photos notamment ta série «Découpages », on ne peut s’empêcher de penser à certaines photos de Man Ray, et plus particulièrement à Erwin Blumenfeld qui se définissait comme un « dadaïste futuriste » et qui mettait ses expérimentations au service de la photo de mode. Peut-on dire de toi que tu es en recherche et développement permanent ? J’aime expérimenter et mélanger les mediums, avoir une intervention physique avec le support photographique, le découpage, le collage, la peinture. Je perfectionne ma technique qui mixe le tout, c’est une forme d’expérimentation.
Tes images, jamais « brut », sont entourées d’un halo de mystère, et possèdent plusieurs niveaux de lecture. Cherche tu à donner aux images une nouvelle existence poétique ?Si oui, pourquoi ? Une nouvelle existence poétique peut-être… je pars de mon imaginaire pour créer de nouveaux territoires.
Tu as fait tes preuves et publié déjà plusieurs séries dans des magazines de mode, à quand les magazines d’art ? Je n’attends que ça…
Ta série pour le magazine Paulette (n°13), inspiré du picturalisme, a eu un effet sur ton modèle qui dit s’être d’une certaine façon réconciliée avec son corps suite à ce shooting. L’amour de soi passe t-il absolument par la modification et le changement? Je ne pense pas qu’elle se soit réconciliée avec son corps le jour du shooting, elle était tout à fait à l’aise et a accepté de poser nue car elle était déjà en harmonie avec elle-même.
Ton travail est plus qu’un travail photographique, tes photos sont des oeuvres à part entière, la photo simple te paraissait elle trop facile ? Une photo n’est jamais simple, il y a une réflexion sur la composition, les couleurs, le choix des lumières, le temps de pose… Ma méthode passe aussi par un travail plastique : j’essaie et je teste de nouvelles expériences qui s’ajoutent et se complètent.
Tu additionnes plusieurs images dans une image, la composition résulte t’elle pour toi d’une somme d’additions ou d’une somme de destructions ? J’additionne, je soustrais, je détruis… pour reconstruire !
Es-tu une femme complexe ou une femme compliquée ? Les deux ! Mais le regard des autres est forcement différent de celui que l’on porte sur soi-même.
L’image que tu trouves la plus réussie de tous tes propres shooting ? C’est difficile à dire : une image fait partie d’une série. Elles marchent ensemble et ne sont pas toujours indissociables, c’est pourquoi choisir une seule image est difficile . Je trouve que ma série « découpages » est une des plus réussies car j’ai pris plus de temps que les autres pour la mûrir et la terminer. Je la trouve donc plus aboutie.
As-tu déjà pensé à la réalisation de films ? J’y pense de plus en plus, c’est d’autant plus facile de nos jours avec le numérique. La façon d’écrire n’est pas la même, donc j’y réfléchis.
Comment vois tu la suite de ta carrière de photographe ? J’espère avoir les moyens de pouvoir continuer mon travail de création car il y a encore beaucoup de territoires à explorer. Mais j’aimerais réaliser des commandes d’envergure pour des clients prestigieux.
Cécile Montigny conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout.
Le 9 juin 2025, une annonce retentissante secoue l’industrie musicale : TaTa, une artiste entièrement conçue par intelligence artificielle (IA), signe avec Stage Zero, un nouveau label lancé par le légendaire producteur Timbaland.
Emmanuel Perrotin, figure emblématique du monde de l'art contemporain, a récemment conclu une transaction historique avec Colony Investment Management (Colony IM), un fonds d'investissement européen, en cédant une participation majoritaire de sa célèbre galerie.
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