La lecture est-elle en train de disparaître dans notre pays ? Les chiffres récents du Centre national du livre (CNL), publiés le 8 avril 2025 dans la sixième édition de son baromètre bisannuel « Les Français et la lecture » (Les Français et la lecture en 2025), révèlent une tendance inquiétante.
Imaginez un instant que nous soyons le 25 mai 2025. L’intelligence artificielle (IA) ne se contente plus d’être un outil périphérique : elle s’invite au cœur même de la santé mentale, redessinant les contours du métier de psychologue.
Aujourd’hui, alors que nous sommes le 25 mai 2025, il est temps de lever le voile sur des scandales qui, bien que partiellement documentés, restent largement ignorés par le grand public et les médias traditionnels.
Pourquoi lui ? Parce qu’après l’abécédaire de François Bégaudeau, Yves Michaud et François Bon qui nous avait déjà largement séduit, Alain Fleischer, de son côté, nous subjugue modestement mais sans doute durablement avec son roman fleuve découpé en 26 entrées. Avec lui, on rentre ici directement dans un long roman d’amour où son héroïne Alma ne vieillit pas. L’écrivain nous fait voyager à vitesse grand v de la Transylvanie à paris en passant par Hongkong sans jamais nous ennuyer une seconde. Il est malheureux qu’on ne connaisse pas assez l’œuvre littéraire et surtout cinématographique d’Alain Fleischer (plus de 50 livres et pas moins de 350 films au compteur, tout de même, c’est assez rare pour le souligner.) Mais avec ce roman-abécédaire c’est une manière (facile) de pouvoir rentrer sans peur (et même avec douceur) dans son univers.
Où le lire ? Sur la route. Que ce soit dans un train, en avion, en voiture ou pour les plus casse-cou sur un vélo.
Le passage à retenir par cœur ? « Mon goût pour le cinéma, ma fréquentation assidue des salles parisiennes, ma connaissance des films, de l’industrie cinématographique, rien de tout cela ne m’avait préparé à vivre une aventure digne d’un scénario scandaleux. Notre passion amoureuse devenait donc une liaison dangereuse, désormais promise à faire la publicité gratuite d’un film. Plus noblement, elle eût été matière à scénario, mais la réalité de nos relations était faite de scènes infilmables, dont le décor principal était un lit, à commencer par celui de la première fois, avec la fougue aveugle, brutale, du premier désir. »
A qui l’offrir ? A tout ceux qui n’aiment vous parler que d’amour et de cinéma.
ALMA ZARA, PAR ALIN FLEISCHER, GRASSET, 480 P., 22 EUROS
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