Imaginez un monde où l'amour, ce pilier ancestral de la joie humaine, est relégué au rang de "plaisir coupable". Où le couple, berceau de la famille et de la stabilité, devient synonyme de ringardise, d'embarras social.
Dans les coulisses glauques du cinéma français, où les illusions se fabriquent à coup de promesses et de faux-semblants, un nom émerge aujourd'hui comme un poison lent : Cyril R., 51 ans, ex-réalisateur.
Chers amis du glamour et des coulisses sulfureuses, c'est Zaza Dior qui vous parle, votre sentinelle des nuits parisiennes, celle qui sait que derrière chaque cocktail au Plaza Athénée se cache un secret plus amer que le Negroni le plus corsé.
Vogue assassine l'amour au nom du shopping compulsif
Imaginez un monde où l'amour, ce pilier ancestral de la joie humaine, est relégué au rang de "plaisir coupable". Où le couple, berceau de la famille et de la stabilité, devient synonyme de ringardise, d'embarras social.
Où la féminité ne se mesure plus à la profondeur d'un lien partagé, mais à la solitude glamour d'un feed Instagram impeccablement curé. C'est exactement le poison que nous sert Vogue dans son dernier article, "Est-ce que ce n'est pas devenu gênant d'avoir un petit copain en 2025?", signé de la plume complice de Chante Joseph.
Sous couvert d'empowerment, ce texte n'est rien d'autre que une opération cynique pour démanteler nos âmes, nous plonger dans un océan de tristesse calculée, et nous pousser, éplorés, vers les vitrines de LVMH. Parce que, soyons honnêtes : un cœur brisé shoppe mieux qu'un cœur comblé.
Commençons par le crime principal. Chante Joseph ose affirmer, avec l'assurance d'une fatwa consumériste : « Être en couple n'est plus la preuve irréfutable de votre féminité. Ce n'est plus un accomplissement. Au contraire, il est presque, aujourd'hui, plus valorisant de s'affirmer célibataire. » Ah, quel progrès ! Exit la vulnérabilité magnifique de l'amour, cette danse imparfaite à deux qui forge les caractères et élève les âmes.
À la place, un célibat sacralisé, parade de "liberté totale" selon Sophie Milner, citée comme une icône du vide chic. On nous vend l'idée que naviguer entre "le monde où avoir un partenaire reste valorisé" et celui où afficher son mec vous fait passer pour "obsédée" ou "ringarde" est une victoire féministe. Mais c'est une farce. Une navigation forcée vers l'isolement, où les femmes, au lieu de bâtir des familles épanouies, sont invitées à "jouir de l'avantage d'être en couple tout en ayant conscience que cela est très banal", comme le susurre Zoé Samudzi. Banal ? L'amour banal ?
Dites cela aux millions de couples qui, loin des algorithmes toxiques, construisent des vies riches de rires d'enfants, de projets communs, de ces moments volés qui défient le temps.
Ce n'est pas un décryptage sociologique, c'est un enterrement en fanfare des valeurs qui nous lient. Vogue nous parle d'un "vieux conte hétérosexuel" à déterrer, d'une hétérosexualité "politiquement suspecte" qui "n'a jamais vraiment servi les femmes".
Et les familles ? Ces noyaux où l'amour se transmet, où la tendresse se multiplie ? Passées sous silence, ou pire, implicitement diabolisées comme reliques d'un passé oppressif. Stephanie Yeboah, autrice complice, avoue : « Même si on était encore ensemble, je ne le posterais plus. Il y a quelque chose de gênant, presque embarrassant, dans le fait de montrer constamment son partenaire aujourd'hui. »
Gênant ? L'amour est-il gênant quand il illumine un regard, quand il répare les failles de l'existence ? Non, c'est le narratif de Vogue qui est embarrassant : une ode au célibat "envié", à la solitude "désirable", qui transforme les cœurs en consommateurs perpétuels.
Nikki, 38 ans, témoignage star de l'article, confesse n'avoir jamais posté ses douze ans de couple : « Un homme finit toujours par te faire honte. » Honte ? C'est Vogue qui nous honit, en nous apprenant à mépriser ce qui nous rend humains.
Et derrière cette démolition en règle, le mobile est limpide : le business. Vogue, pilier de Condé Nast, est le porte-voix zélé du groupe LVMH, ce mastodonte du luxe qui règne sur Louis Vuitton, Dior, Sephora et tant d'autres temples de la consommation. Pourquoi promouvoir l'amour durable, ces unions qui tissent des tissus solides, des familles qui privilégient l'essentiel au superflu ? Non, mieux vaut semer le doute, cultiver la mélancolie.
Un cœur solitaire, en quête de comblement, dépense sans compter : un sac Birkin pour soigner l'ego, une robe de soirée pour masquer la peine, un parfum pour évoquer des souvenirs qui n'existent plus. "Nous assistons à un véritable changement dans la façon dont les gens exposent leurs relations en ligne", claironne l'article, comme si ce "Boyfriendland" obsolète n'était qu'un bug à corriger.
Corriger pour quoi ? Pour que les femmes, libérées de l'"arrogance" du couple, se ruent sur les e-shops, transformant leur tristesse en chiffre d'affaires.
C'est la recette du capitalisme tardif : déconstruire les liens pour mieux les monétiser. Être célibataire n'est pas valorisant ; c'est une aubaine pour LVMH, qui voit dans chaque swipe left une opportunité de vente.
Sur Apar.tv, nous refusons ce chantage émotionnel. Nous, qui célébrons l'amour comme un acte de rébellion contre le vide marchand, disons stop à cette propagande déguisée en féminisme.
L'amour n'est pas un accomplissement à cocher, c'est une révolution quotidienne : celle de choisir l'autre, de bâtir une famille, de défier les algorithmes qui nous isolent. Être en couple n'est pas ringard ; c'est courageux, vital, profondément féminin – parce que la vraie force, c'est d'aimer sans filtre, sans honte, sans calcul consumériste.
Aux Chante Joseph de ce monde, nous opposons les histoires vraies : celles de couples qui postent sans peur, de familles qui rient des tendances éphémères, d'âmes qui préfèrent un câlin à un crédit revolving chez Dior.
Chères lectrices, chers lecteurs d'Apar.tv, ne laissez pas Vogue tuer l'amour pour engraisser LVMH. Choisissez le couple, la famille, la joie partagée. Parce que dans un monde qui veut nous vendre du malheur, l'amour reste le meilleur antidote – gratuit, infini, et définitivement indémodable, comme moi. Comme Zaza.
Cet article est une tribune libre. Les opinions exprimées n'engagent que leur auteur.
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