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Viols en maternelle : Paris protège ses monstres, pas ses enfants

Des dizaines d’enfants de 3 à 5 ans violés dans les écoles parisiennes depuis la rentrée, des animateurs transférés d’un établissement à l’autre malgré des alertes, des plaintes qui s’accumulent et, face à cela, une Hidalgo en mode damage control total : communiqués lénifiants et zéro enquête.

Viols en maternelle : Paris protège ses monstres, pas ses enfants

Pendant ce temps, l’Hôtel de Ville et l’Élysée regardent ailleurs, terrifiés à l’idée que le scandale ne vienne salir le bilan du camp progressiste avant les municipales. Résultat : les réseaux présumés continuent de prospérer dans l’ombre et les parents hurlent dans le vide. Apar.tv démonte l’omerta.

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Paris, la Ville Lumière ? Plutôt la ville des ténèbres, ces derniers mois, où les cris étouffés d'enfants violés résonnent comme un écho sordide dans les couloirs des écoles maternelles. Des dizaines de plaintes pour viols aggravés et agressions sexuelles sur des tout-petits de moins de cinq ans, perpétrés par des animateurs périscolaires censés les protéger.

Et au cœur de ce cauchemar, un mot qui revient comme une accusation lancinante : "réseaux". Des connexions suspectes entre ces prédateurs, des transferts d'un établissement à l'autre sans vrai contrôle, des alertes ignorées par une administration qui semble plus soucieuse de son image que de la chair innocente qu'elle laisse exposée.

Mais qui ose creuser ? Personne à l'Hôtel de Ville. Anne Hidalgo et ses adjoints, ces gardiens autoproclamés du progressisme, préfèrent balayer la poussière sous le tapis, à grand renfort de communiqués lénifiants et de promesses en l'air.

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Prenons les faits, crus et implacables. Depuis la rentrée 2025, quinze enquêtes judiciaires ont été ouvertes pour agressions sexuelles dans les maternelles parisiennes, selon le parquet des mineurs lui-même.

Trente animateurs suspendus cette année seule, dont seize pour des suspicions à caractère sexuel – un chiffre "stable", ose-t-on nous dire, comme si la stabilité du scandale était une vertu. Dans le XIe arrondissement, épicentre de l'horreur, l'école Bullourde voit trois de ses animateurs mis en cause : un pour viol aggravé sur une fillette de quatre ans, un autre pour exhibition, le troisième pour agressions.

À Parmentier, une nouvelle plainte pour "bataille de zizis" et pénétrations sur un garçon de quatre ans. À Alphonse-Baudin, un prédateur jugé pour agressions sur cinq enfants et harcèlement sur des collègues. Et la liste s'allonge : Titon, Roquette, Émeriau...

Des parents témoignent d'enfants qui refusent de se doucher, qui pleurent à la cantine, qui font des crises d'énurésie soudaines. Des signes criants, ignorés. Des plaintes pour "viol aggravé" déposées avec constitution de partie civile, réclamant un juge d'instruction pour percer l'opacité. Mais que fait la Mairie ? Elle suspend, elle promet un "plan de lutte" dévoilé en novembre, avec un vague "défenseur des enfants" et des formations renforcées. Des rustines sur une plaie gangrénée.

Et les réseaux ? Parlez-en aux parents de l'école Baudin, qui pointent du doigt un animateur, David G., transféré d'une école à l'autre malgré des alertes : de Parmentier à Roquette, sans enquête administrative sérieuse. "Les faits auraient pu être évités", titre RTL, et on y lit l'aveu d'un système défaillant, où les casiers judiciaires vierges suffisent à embaucher, mais où les signalements internes s'évaporent.

Rachida Dati, candidate à la mairie et ministre de la Culture, interpelle Hidalgo depuis des mois : "Il ne faut plus qu’un animateur puisse se retrouver seul avec un enfant." Silence radio.

Les syndicats hurlent sur la précarisation massive des animateurs, des contrats précaires qui attirent les loups. Et Hidalgo ? "Ce n’est pas nouveau dans cette ville", lâche-t-elle froidement le 19 novembre, comme si la répétition banalisait l'atrocité. Pas un mot sur les dysfonctionnements structurels, pas une commission d'enquête indépendante.

Juste des suspensions "définitive" en cas d'acquittement – une farce, quand on sait que les enquêtes traînent et que les parents restent dans le brouillard, sans accès au dossier.

Pourquoi cette frénésie d'enterrement ? Parce que l'affaire pue la défaite électorale pour Hidalgo, qui rêve encore d'Élysée ou du moins d'un bilan immaculé avant les municipales. Paris, bastion socialiste-écologiste, ne peut pas admettre que son modèle périscolaire – ces "oasis" vantés par les adjoints – est un piège à enfants. Et le couple élyséen, Macron et sa garde, ? Ils observent, muets, alors qu'un collectif de parents les implore publiquement le 7 décembre : "Protégez nos enfants !" Emmanuel Grégoire, député PS et victime d'enfance, brise le silence sur France Inter : "Je porte cette cicatrice... Le silence tue."

Mais au sommet, on préfère les discours sur l'"écologie humaine" aux actes concrets. Un Élysée qui, rappelons-le, a déjà frôlé le scandale avec des affaires internes de violences – on enterre, on classe, on passe. Cette opacité protège le pouvoir : Hidalgo s'accroche à son fauteuil, Macron à son image de réformateur bienveillant. Le "couple" au sens large – Hidalgo et l'exécutif central, unis dans la gauche caviar – ne veut pas que ces viols salissent le tableau. Mieux vaut un "plan" cosmétique qu'une vraie purge.

Parents de Paris, ne vous laissez pas bercer. Ces dizaines de viols ne sont pas des "faits divers" isolés, mais le symptôme d'une ville défaillante, où la protection de l'enfance est sacrifiée sur l'autel de la politique. Exigeons des enquêtes transparentes, des recrutements revus de fond en comble, et la fin de ces transferts suspects qui puent le réseau. Hidalgo, arrêtez de creuser des tombes pour ces affaires. Les enfants de Paris ne le méritent pas. Et nous, citoyens, nous n'oublierons pas. La lumière doit percer, ou Paris s'éteindra pour de bon.


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