La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Une information judiciaire pour « viol » a été ouverte le 12 juillet après des accusations d’une militaire de l’Élysée contre un autre militaire, et ce dernier a été placé sous le statut intermédiaire de témoin assisté, a-t-on appris vendredi de source judiciaire, confirmant partiellement une information de Libération.
Selon cette source, « les investigations sont toujours en cours » et le militaire mis en cause « a été placé » le 12 juillet à l’issue de son interrogatoire devant le juge d’instruction « sous le statut de témoin assisté », un statut moins incriminant que celui de mis en examen.
Agressé après un discours d’Emmanuel Macron
Dans son article révélant l’affaire, Libération indique que les faits se seraient produits dans des locaux de l’état-major particulier de l’Élysée le 1er juillet, en marge d’un pot de départ de trois collaborateurs, et bien après le départ du chef de l’Etat Emmanuel Macron qui avait prononcé un discours en début de soirée.
« Une jeune militaire, qui assistait auparavant au pot de départ, dit s’être vue imposer des violences sexuelles par un homme, lui aussi militaire » et « sous-officier ». « Les deux militaires sont affectés à l’état-major particulier, travaillent ensemble au quotidien et se connaissent », selon le quotidien. La militaire aurait déposé « dans les heures qui ont suivi » une main courante au commissariat du VIIIe arrondissement, ajoute Libération.
Comme à Libération, l’Élysée a indiqué ne « jamais » commenter « les affaires judiciaires en cours », tout en précisant que « dès que les faits ont été portés à la connaissance des autorités, des mesures ont immédiatement été prises : écoute, soutien et accompagnement de la victime, affectation immédiate, loin de l’Élysée, de la personne incriminée ». Le ministère des Armées n’a pas souhaité commenter dans l’immédiat.
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