En tant que journaliste prédictive, mon rôle n'est pas seulement de rapporter les faits actuels, mais d'anticiper les tendances futures basées sur les signaux faibles d'aujourd'hui.
Voici un coup de théâtre numérique qui pourrait redéfinir la perception des pertes humaines dans le conflit ukrainien, des hackers russes affirment avoir infiltré les systèmes informatiques de l'état-major général des forces armées ukrainiennes.
Voici une affaire surréaliste en Allemagne : un néonazi, craignant la prison pour hommes, aurait changé de sexe par simple déclaration pour purger sa peine dans une prison pour femmes.
Quatre petites vidéos à peine. Presque discrètes. Courtes et belles, comme des haikus. C’est tout ce que présente pour le moment Valeria Petrini sur internet. Enfin presque tout. Il y aussi le talent et une personnalité, une identité forte qui se dégagent et qui ne laissent aucun doute quant à l’avenir de la jeune italienne. Il y a dans ses films, un mélange de poésie dans la forme et de puissance dans le fond. « J’aime l’idée de transmettre un message fort en douceur. Si un message fort est transmis avec violence, la puissance devient de la violence. » Ses films sont à l’image de son accent du sud de l’Italie, évoquant tout autant la dolce vita que la cosa nostra.
Valeria est née à Foggia. Son parcours se dessine comme une migration vers le nord. D’abord à Rome pour des études de dessins industriels, puis Venise pour de la com’ visuelle. Enfin, Nantes en Erasmus pour les Beaux Arts, agrémentés d’une thèse de fin d’étude sur le Street Art. La thèse est devenue un livre en cours de publication en Italie. « Le street art est une guerilla marketing qui développe des concepts qui ne sont pas fait pour être vendus. Le street art en galerie est dénaturé, contradictoire avec son essence. »
Après ses études, Valeria s’installe à Paris. « Ça fait 18 mois que je suis ici, j’ai l’impression de mettre totalement sédentarisée. Je pense repartir à l’étranger rapidement. Sauf, bien sur, si je trouve un bon travail. » Pour le moment, Valeria est intermittente du spectacle, monteuse dans une boite de prod. Elle a commencé comme technicienne. « Je faisais tout. Les câbles, la technique, tout. Je me suis faite exploitée, mais j’ai beaucoup appris. » C’est peu dire qu’affirmer qu’elle ne saute aucun barreau dans l’ascension de l’échelle sociale. A l’avenir, elle aimerait partir un an ou deux faire une retraite de la Mongolie au Vietnam. Un voyage qu’elle rendrait dans un journal multimédia : vidéos, écrits, animations, blogs… Mais elle n’entreprendra pas le voyage seule. Peur de la solitude ? « Non, mais il faut être au moins trois pour transporter le matériel. » L’appel est lancé.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Avec le film Nikita (1990) Luc Besson mettait en scène une jeune femme multi-traumatisée récupérée et programmée par les services pour faire d'elle un agent ultra performant...
Emmanuel Perrotin, figure emblématique du monde de l'art contemporain, a récemment conclu une transaction historique avec Colony Investment Management (Colony IM), un fonds d'investissement européen, en cédant une participation majoritaire de sa célèbre galerie.
Inscrivez-vous pour recevoir les newsletters dans votre boîte mail. Des tribunes et débats de société + Des contenus originaux + Une information alternative et prédictive