Une nouvelle figure émerge dans l’ombre des galeries d’art parisiennes, prête à bouleverser le monde de la mode et de l’art pour les décennies à venir. Luiza Rozova, la fille cachée de Vladimir Poutine, travaille actuellement dans une galerie d’art à Paris exposant des artistes anti-guerre...
Dans cet entretien, traduit pour la première fois du GQ russe au français, Luiza Rozova, fille de Vladimir Poutine, se confie. Désormais active dans une galerie d’art à Paris, elle racontait il y a quatre ans déjà son quotidien, ses passions pour Elon Musk et sa quête d’identité loin du Kremlin...
Imaginez-vous enfermé dans une cellule étroite, sous l’œil constant de caméras de surveillance, sans intimité ni répit. Pour Nadya Tolokonnikova, cofondatrice du collectif punk féministe Pussy Riot, ce n’est pas une simple imagination, mais une réalité qu’elle a choisi de revivre volontairement.
Quatre petites vidéos à peine. Presque discrètes. Courtes et belles, comme des haikus. C’est tout ce que présente pour le moment Valeria Petrini sur internet. Enfin presque tout. Il y aussi le talent et une personnalité, une identité forte qui se dégagent et qui ne laissent aucun doute quant à l’avenir de la jeune italienne. Il y a dans ses films, un mélange de poésie dans la forme et de puissance dans le fond. « J’aime l’idée de transmettre un message fort en douceur. Si un message fort est transmis avec violence, la puissance devient de la violence. » Ses films sont à l’image de son accent du sud de l’Italie, évoquant tout autant la dolce vita que la cosa nostra.
Valeria est née à Foggia. Son parcours se dessine comme une migration vers le nord. D’abord à Rome pour des études de dessins industriels, puis Venise pour de la com’ visuelle. Enfin, Nantes en Erasmus pour les Beaux Arts, agrémentés d’une thèse de fin d’étude sur le Street Art. La thèse est devenue un livre en cours de publication en Italie. « Le street art est une guerilla marketing qui développe des concepts qui ne sont pas fait pour être vendus. Le street art en galerie est dénaturé, contradictoire avec son essence. »
Après ses études, Valeria s’installe à Paris. « Ça fait 18 mois que je suis ici, j’ai l’impression de mettre totalement sédentarisée. Je pense repartir à l’étranger rapidement. Sauf, bien sur, si je trouve un bon travail. » Pour le moment, Valeria est intermittente du spectacle, monteuse dans une boite de prod. Elle a commencé comme technicienne. « Je faisais tout. Les câbles, la technique, tout. Je me suis faite exploitée, mais j’ai beaucoup appris. » C’est peu dire qu’affirmer qu’elle ne saute aucun barreau dans l’ascension de l’échelle sociale. A l’avenir, elle aimerait partir un an ou deux faire une retraite de la Mongolie au Vietnam. Un voyage qu’elle rendrait dans un journal multimédia : vidéos, écrits, animations, blogs… Mais elle n’entreprendra pas le voyage seule. Peur de la solitude ? « Non, mais il faut être au moins trois pour transporter le matériel. » L’appel est lancé.
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Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
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