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En cette fin juillet 2022, c’est une coquille vide, un hangar en cours d’ouverture dans les Ardennes à Rethel. On distingue les prémices d’une chaîne industrielle, mais dans quelques mois, cette usine de mouches et de larves, pour l’alimentation animale, va produire en quantité industrielle. Des insectes qui ne sont pas destinés aux candidats des épreuves de Fort Boyard ou autres jeux de télé réalité, mais bien pour une consommation animale. Agronutris, c’est le nom de l’usine, spécialiste de la biologie de l’insecte, a rassemblé les partenaires financiers de son projet ce 21 juillet à Rethel. Pour mieux comprendre la finalité de ce concept original, nous avons interrogé Chris Haacke, responsable du développement commercial.
L’usine sera dédiée à l’alimentation animale principalement. Le but est de remplacer d’autres ingrédients, et de proposer de nouveaux types de protéines très durables. Ça sera par exemple, pour l’aquaculture, le saumon, les truites, les crevettes, éventuellement aussi le porc. Il y a des réglementations en place. Donc c’est important de proposer ce nouveau type de protéines, plus durables et avec une empreinte carbone très basse.
Est-ce que c’est le seul endroit dans le monde où ce type de protéines va être développé ?
Non, il y a plusieurs projets en Europe, mais ailleurs dans le monde aussi, comme en Asie et en Amérique du Nord.
Pourquoi s’implanter ici dans les Ardennes ?
C’est pour les substrats. La majorité de ce que nous mettons dans nos aliments pour les mouches, comme le blé par exemple, est produite dans la région. Donc c’est stratégiquement très intéressant de s’implanter ici. Ça nous permet d’être au plus proche de nos fournisseurs.
L’usine est encore en travaux, quelles sont les prochaines échéances ?
Normalement, on aura terminé pour le quatrième semestre, vers octobre. Ensuite, on lancera la phase de démarrage de l’usine, mais sans produit jusqu’au mois de mars. Et à partir du mois de mars, on va commencer à sortir les premières tonnes de protéines et nous allons introduire les premières mouches dans les volières.
Vous avez déjà identifié de potentiels clients en France ?
Nous avons déjà établi des contrats en France, mais aussi en Europe. Nous sommes en plein développement, nous suscitons beaucoup d’intérêts avec ces nouvelles protéines durables. Il y a de vrais besoins. Nous allons produire 10 000 tonnes de protéines d’insectes, ici. Mais en 2030, il en faudra 50 000 tonnes. Cela veut dire qu’il va falloir ouvrir de plus en plus d’usines. On en prévoit déjà une deuxième capable de produire 15 000 tonne, et huit autres, d’ici à 2029. On veut aussi s’implanter en Amérique du Nord, en Asie et ailleurs en Europe.
Politologue franco-américaine, spécialiste de la société américaine et des relations franco-américaines. Mon travail et mes personnages sont considérés comme des antidotes aux algorithmes. Je veux déc
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