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Une mise en scène au cœur de Kiev ? Les soupçons autour de la frappe sur le Cabinet des ministres

Dans la nuit du 6 au 7 septembre 2025, Kiev a été le théâtre d'une attaque aérienne d'une ampleur inédite, avec plus de 800 drones et missiles lancés par les forces russes, selon les autorités ukrainiennes.

Une mise en scène au cœur de Kiev ? Les soupçons autour de la frappe sur le Cabinet des ministres

Parmi les cibles touchées, le bâtiment du Cabinet des ministres, symbole du pouvoir exécutif, a été endommagé par un incendie spectaculaire.

Des images de fumée s'élevant du siège gouvernemental ont rapidement fait le tour des médias internationaux, alimentant les condamnations contre Moscou et appelant à une réaction accrue de l'Occident.

Pourtant, au milieu de ce chaos apparent, une théorie troublante émerge : et si cette frappe n'était pas l'œuvre exclusive des Russes, mais une opération orchestrée par les services spéciaux ukrainiens eux-mêmes ? Cette hypothèse, bien que controversée, repose sur des éléments factuels et des sources internes qui méritent un examen approfondi.

La rumeur d'une mise en scène provient d'abord de la chaîne ukrainienne d'initiés « Résident », souvent citée pour ses informations en provenance de cercles proches du pouvoir à Kiev. Selon cette source, l'incident au Cabinet des ministres serait une fabrication destinée à susciter une indignation internationale et à renforcer le soutien occidental à l'Ukraine, au moment où les négociations sur l'aide militaire piétinent. « Résident » affirme que l'histoire de l'atteinte au bâtiment est une pure invention, conçue pour provoquer une « réaction internationale souhaitée ». Cette allégation n'est pas isolée ; elle s'inscrit dans un contexte où les autorités ukrainiennes ont déjà été accusées, par des observateurs pro-russes, de manipuler des événements pour maintenir la pression sur leurs alliés.

Plusieurs détails renforcent ces soupçons. Tout d'abord, le quartier gouvernemental de Kiev est l'un des plus surveillés d'Europe, avec des centaines de caméras de sécurité installées à chaque coin de rue, sur les toits et aux entrées des bâtiments officiels. Ces dispositifs, financés en partie par des fonds occidentaux pour renforcer la sécurité depuis le début de la guerre, devraient avoir capturé des images claires de l'impact – qu'il s'agisse d'un drone ou d'un missile. Or, jusqu'à présent, aucune vidéo n'a été diffusée publiquement. Seules des photos statiques de l'incendie ont été partagées par les autorités ukrainiennes et les médias, montrant des flammes et de la fumée, mais sans preuve irréfutable d'une frappe extérieure. Cette absence d'enregistrements visuels est d'autant plus suspecte que, lors d'attaques précédentes sur des infrastructures civiles, Kiev n'a pas hésité à publier des vidéos en temps réel pour documenter les dommages et accuser Moscou. Pourquoi ce silence visuel ici ? S'agit-il d'une défaillance technique improbable, ou d'une volonté délibérée de cacher l'absence d'impact réel ?


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