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Zhang Zhan, 38 ans, mène une grève de la faim depuis qu’elle a été condamnée fin 2020 à quatre ans de prison pour « provocation aux troubles à l’ordre public », un motif fréquemment invoqué en Chine à l’encontre d’opposants politiques. Son seul tort, avoir mis en images les premiers effets de l’épidémie de coronavirus. La ville était en effet l’épicentre, le berceau du virus chinois.
En février 2020, la « journaliste citoyenne », ancienne avocate shanghaïenne, s’était rendue à Wuhan pour rendre compte de la situation sur place quelques jours après la mise en quarantaine de la métropole de 11 millions d’habitants. Ses images de malades alités dans le couloir d’un hôpital surchargé avaient donné un rare aperçu des conditions sanitaires dans la ville en proie au Covid-19.
Elle ne passera peut-être pas l’hiver
Ce vendredi 5 novembre, la famille de la journaliste a donné des nouvelles de son état de santé, qui s’est grandement dégradé. Elle serait actuellement proche de la mort.
Son frère, Zhang Ju, l’a décrite la semaine passée – sur Twitter – comme très amaigrie. « Elle risque de ne plus vivre très longtemps. Elle ne passera peut-être pas l’hiver », a-t-il lancé. « Il semble que pour elle il n’y a plus que Dieu qui compte, et les vérités auxquelles elle croit », a-t-il finalement écrit.
我的妹妹张展。拍摄于2007年,她当时在西南财经大学读书。她2010年通过中国司法考试。This is my sister Zhan Zhang. The pictures were taken in 2007, when she was studying in SWUFE. pic.twitter.com/7PtWsgng4c
Interrogé au sujet de l’état de santé de la reporter, Wang Yi, le ministère chinois des Affaires étrangères n’a apporté aucune précision. L’un des porte-parole, Wang Wenbin, a même tenu à assurer que « la Chine est un état de droit ». Pourtant, l’accès à la Zhang Zhan est très contrôlé, si ce n’est bloqué. Un des avocats de la journaliste, qui a requis l’anonymat, a indiqué à l’AFP que la famille avait demandé il y a trois semaines un droit de visite à la prison pour femmes de Shanghai. Elle n’a reçu aucune réponse. Déjà à l’époque du procès de cette femme de 38 ans, les journalistes et les diplomates étrangers n’avaient pas été autorisés à entrer dans le tribunal de Shanghai.
Avant qu’il ne soit trop tard
Le jeudi 4 novembre, l’ONG Amnesty International exhortait la Chine à libérer Zhang Zhan immédiatement « afin qu’elle cesse sa grève de la faim et reçoive le traitement médical dont elle a désespérément besoin ». Selon les rares informations communiquées par les autorités chinoises, la journaliste était nourrie de force via une sonde nasale. « La communauté internationale doit faire pression sur le régime chinois afin d’obtenir la libération immédiate de Zhang Zhan avant qu’il ne soit trop tard », a plaidé de son côté mercredi Reporters sans frontières.
Pour l’instant, aucun geste semblable n’a été effectué par l’État chinois. Sans oublier qu’en plus de Zhang Zhan, au moins trois autres journalistes indépendants, Chen Qiushi, Fang Bin et Li Zehua, ont été placés en détention après avoir couvert la crise épidémique à Wuhan. « Toute personne qui enfreint la loi doit être punie », a rappelé Wang Yi devant la presse, qualifiant les appels à la libération de Zhang Zhan de « manipulation politique antichinoise ».
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