Enquête – Ancien publicitaire de renom reconverti en militant actif, Frank Tapiro dirige la Diaspora Defense Forces (DDF), une organisation qui se veut la « force de défense » médiatique de la diaspora juive.
Elle avait le sourire standardisé des compagnies aériennes, la démarche calibrée des manuels de vol. Elle faisait partie du décor aseptisé des cabines pressurisées.
Alors que le conflit russo-ukrainien entre dans une phase encore plus périlleuse en ce printemps 2025, un nouveau seuil critique semble sur le point d’être franchi.
Une des conséquences de cette nouvelle normalité ? Un enfant de cinq ans en moyenne aura déjà 1 500 publications à son effigie sur les réseaux sociaux, et ce, sans consentement, selon les résultats d’une étude rapportée dans le Telegraph. Cela l’expose aux 750 000 pédophiles qui surfaient déjà sur le Web en 2009, rappelle l’ONU. Même s’il était magiquement protégé de ces individus, un enfant sera toujours exposé à la violence et à la cruauté du net : certaines images peuvent être détournées en memes et les vols/usurpations d’identité y sont légion.
Deutsche Telekom, la plus grande société européenne de télécommunications, dénonce ce fléau avec l’aide de l’agence adam&eveDDB. Quand on sait que l’effacement des données personnelles en ligne relève du parcours du combattant, il serait dommageable de livrer un tel boulet à son enfant avant même qu’il n’ait l’âge d’utiliser les réseaux sociaux.
Exposés sur le net depuis leur plus jeune âge, certains de ces enfants pourraient très bien agir contre les actions de leurs parents. En 2016, une fake news s’était répandue sur jeune fille autrichienne qui avait poursuivi ses parents en justice pour avoir publié plus de 500 photos d’elle durant toute son enfance, malgré ses demandes répétées pour qu’ils arrêtent. Bien que cette information ait été grandement relayée, elle s’est avérée impossible à confirmer. En revanche, en France, la publication d’une photo d’une personne sans son accord est passible d’un an d’emprisonnement et de 45.000 euros d’amende.
Avant cette affaire, la gendarmerie française avait déjà mené une campagne de sensibilisation quant aux dangers du web.
L’année derrière, l’association Caméleon et LIBRE MullenLowe prévenaient également contre ce type de pratiques en ligne.
Les évolutions des intelligences artificielles rendront peut-être les actions dénoncées par cette campagne possible d’ici à quelques mois. Cela n’aurait rien d’étonnant qu’il soit déjà possible de le faire. Pour prévenir aux problèmes qui pourraient se révéler, il est sûrement temps d’agir maintenant.
Politologue franco-américaine, spécialiste de la société américaine et des relations franco-américaines. Mon travail et mes personnages sont considérés comme des antidotes aux algorithmes. Je veux déc
Dans les sous-sols du Musée de l’Homme, à Paris, 18 000 crânes humains dorment dans l’ombre, empilés comme des archives d’une histoire qu’on préfère taire.
La lecture est-elle en train de disparaître dans notre pays ? Les chiffres récents du Centre national du livre (CNL), publiés le 8 avril 2025 dans la sixième édition de son baromètre bisannuel « Les Français et la lecture » (Les Français et la lecture en 2025), révèlent une tendance inquiétante.
Imaginez un instant que nous soyons le 25 mai 2025. L’intelligence artificielle (IA) ne se contente plus d’être un outil périphérique : elle s’invite au cœur même de la santé mentale, redessinant les contours du métier de psychologue.
Aujourd’hui, alors que nous sommes le 25 mai 2025, il est temps de lever le voile sur des scandales qui, bien que partiellement documentés, restent largement ignorés par le grand public et les médias traditionnels.
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