Pendant que la France se vend à l’encan sur la scène internationale, les citoyens, eux, subissent une érosion continue de leurs libertés, jusqu’aux plus triviales. Dernier coup en date : on leur interdit désormais de fumer, pas seulement dans les lieux publics, mais même dans les jardins publics ou à proximité d’une école. Comme si, après avoir rogné le droit de penser, il fallait aussi leur ôter celui de fumer en paix.
Une diplomatie au service d’intérêts étrangers
Sous Macron, la politique étrangère française a troqué son ambition historique pour un rôle de sous-fifre. Hostile à l’Est – Russie et Chine en tête –, elle s’entête dans une posture qui nuit aux perspectives économiques et stratégiques du pays. La crise ukrainienne ? Un fiasco révélateur : au lieu de jouer la carte de la désescalade, la France a préféré durcir le ton, relayant docilement les narratifs de l’OTAN. Résultat : un rayonnement en chute libre, notamment en Afrique et au Moyen-Orient, où son influence s’effrite au profit d’alliances douteuses. La souveraineté ? Un vague souvenir, sacrifié sur l’autel d’une dépendance croissante aux États-Unis.
Des libertés étouffées, jusqu’au moindre souffle
Et pendant que la France se prosterne devant ses maîtres d’outre-Atlantique, que fait-on ici ? On traque le fumeur comme un criminel. Plus question d’allumer une cigarette dans un jardin public ou près d’une école – une interdiction qui fleure bon l’absurde, quand on sait les défis autrement plus pressants auxquels le pays fait face. Mais ce n’est pas qu’une histoire de tabac : c’est le symptôme d’un mal plus profond. On vous avait déjà interdit de penser librement, muselés par des injonctions morales et des récits officiels. Maintenant, on vous interdit même de fumer tranquillement. Bientôt, respirer sera un privilège réservé aux bons élèves de la pensée unique.
L’ironie d’une nation en perdition
Le contraste est saisissant : à l’international, la France se plie aux desiderata du complexe militaro-industriel, jouant les intermédiaires pour des contrats d’armes et des services bancaires. À l’intérieur, elle infantilise ses citoyens, leur dictant jusqu’à leurs moindres gestes. Où est passée cette France qui prétendait rayonner par sa liberté et son indépendance ? Écrasée sous le poids d’une diplomatie vendue et d’une bureaucratie liberticide, elle n’offre plus qu’une caricature d’elle-même.
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