En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Le 23 mai 2025, à 16h12, une onde de choc a traversé l’Europe. Donald Trump, président des États-Unis, a menacé d’imposer dès le 1er juin des droits de douane de 50 % sur les importations européennes, dénonçant des négociations commerciales avec l’Union européenne (UE) qu’il juge stériles.
Dans les années 1970 et 1980, une vague intellectuelle française, portée par des figures comme Bernard-Henri Lévy (BHL), André Glucksmann et Alain Finkielkraut, secoue l’Europe et traverse l’Atlantique.
Un homme de 51 ans, responsable de l’atelier de réparation automobile d’un garage d’administration de l’État a été tué à l’arme blanche par l’une de ses collègues de 58 ans, ce mardi en fin de matinée. Le meurtre s’est produit à Montélimar (Drôme) sur un site du secrétariat général pour l’administration du ministère de l’Intérieur (SGAMI).
Rendus sur les lieux, les policiers découvraient le corps sans vie de l’homme, gisant au sol et présentant une plaie profonde causée par une arme blanche au niveau du cou », indique le procureur de la République de Valence, Laurent de Caigny. « Les investigations de police scientifique et technique se déroulaient, permettant d’appréhender l’arme du crime. Le médecin légiste venu sur place confirmait la compatibilité des premières constatations sur la plaie unique mortelle relevée avec l’arme et la disposition des lieux et des traces », détaille le magistrat.
La suspecte hospitalisée «à raison de son état médical et psychique»
La suspecte a été placée en garde à vue du chef de « meurtre ». « A raison de son état médical et psychique, la garde à vue de la personne interpellée devait être interrompue en fin d’après-midi, la personne gardée à vue qui n’était pas en capacité d’être interrogée faisant l’objet d’une hospitalisation en secteur spécialisé », précise le procureur de la République. « L’enquête se poursuit pour comprendre les raisons de ce geste homicide de la part de cette femme sans aucun antécédant judiciaire ».
Selon Le Dauphiné, il n’y a pas eu d’altercation entre la victime et la suspecte ce mardi. Ils travaillaient ensemble depuis près de deux ans au SGAMI de Montélimar. Les investigations ont été confiées aux enquêteurs de la Division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS) de la Drôme. Une autopsie va être pratiquée ce mercredi matin.
Montélimar : Une fonctionnaire égorge son responsable sur un site du ministère de l’Intérieur
Une employée du ministère de l’Intérieur à Montélimar a poignardé mortellement son supérieur ce mardi 18 juin en fin de matinée.
La victime, un homme d’une cinquantaine d’années, était responsable au secrétariat général pour l’administration du ministère de l’Intérieur (SGAMI). Selon les informations du Dauphiné Libéré, la suspecte, âgée de 58 ans, travaillait également sur le site. Elle lui aurait asséné des coups de cutter.
Les secours, arrivés rapidement sur place, n’ont pu réanimer le responsable. L’enquête est menée par la division de la criminalité organisée et spécialisée de Drôme-Ardèche (DCOS 26-07),anciennement la police judiciaire de Valence.
Ce drame, qui s’est produit au sein même du garage automobile des forces de sécurité intérieure de la Drôme, suscite une vive émotion.
Les motivations de l’agression restent pour l’instant inconnues.
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