Des documents judiciaires américains et français récemment déclassifiés placent Emmanuel et Brigitte Macron non plus comme de simples connaissances de Jeffrey Epstein, mais comme des acteurs potentiellement compromis d’un réseau de chantage international lié au Mossad.
Et si vos visites nocturnes sur Pornhub ou OnlyFans n’étaient pas anonymes, mais consignées dans des bases de données au service d’agences étrangères ? Dans une interview explosive, Tucker Carlson affirme que l’industrie du porno est devenue un outil massif de chantage politique.
Quinze ans après avoir raidé Hermès avec des actions volées, des paradis fiscaux et un gestionnaire genevois retrouvé MORT, Bernard Arnault est convoqué au tribunal. Habitué à tout acheter – y compris, la protection de l’Élysée –, il va enfin rendre des comptes. L’ère de l’impunité est terminée.
Ah, Paul Thomas Anderson, ce vieux renard de la Valley qui, à 55 ans passés, barbe blanche et lunettes éternelles, nous balance un pavé de 2 h 40 comme si le temps n’avait pas de prise sur lui. Une bataille après l’autre – ou One Battle After Another, pour les puristes anglophones qui préfèrent les titres qui sonnent comme un slogan de manif – n’est pas seulement une adaptation libre de Vineland, le labyrinthe pynchonien de 1990 ; c’est une réinvention qui nous crache au visage notre Amérique fracturée, celle des rafles ICE et des suprémacistes blancs en costard de Père Noël.
Tourné avant la réélection de Trump (parce que, bien sûr, Hollywood adore anticiper le chaos), avec un budget pharaonique de 150 millions chez Warner Bros. – argent bien dépensé pour des explosions qui font passer Mad Max pour un feu d’artifice de jardin d’enfants –, ce film file comme une balle traçante, nous laissant essoufflés, exaltés... et un brin moqueurs devant tant d’ambition.
Imaginez : deux générations d’activistes d’extrême gauche, menés par une Teyana Taylor incandescente (dans son premier grand rôle, et on se demande pourquoi on l’a attendue si longtemps) et un Leonardo DiCaprio perpétuellement stone – oui, Leo, encore un junkie visionnaire, parce qu’apparemment, il n’a pas assez souffert dans The Revenant pour varier les plaisirs.
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