Une révélation choc secoue la sphère médiatique française : le milliardaire Pierre-Édouard Stérin, connu pour ses vues conservatrices, aurait acquis le média Cerfia, y compris son compte X influent comptant 1,27 million d’abonnés, via son fonds d’investissement Otium Capital.
Pendant treize ans, Christian Clavier, incarnation du "bon père de famille" à l’écran, a échappé à l’impôt en s’expatriant à Londres. Rattrapé par le fisc, il doit faire face à la réalité : derrière le masque se cache un homme qui a cherché à ne rien donner à la société qui l’a fait roi.
Le château de Miraval, niché dans le Var, incarne le rêve provençal : une bâtisse du XVIIe siècle, des vignes à perte de vue, une oliveraie, un lac, et un studio d’enregistrement ayant accueilli des stars comme Pink Floyd, Travis Scott ou Christine and the Queens.
Au début des années 70, la chaîne PBS commande un court-métrage politique à Woody Allen. À l’époque, le névrosé n’avait réalisé que deux films et écrit pour le théâtre, son cynisme et sa virulence n’était donc pas encore réellement connu des producteurs. Woody nous pond donc Men of Crisis : The Harvey Wallinger Story, où il joue lui-même le rôle de Harvey Wallinger, sosie raté et maladroit d’Henry Kissinger, l’homme qui murmure à l’oreille des présidents (on vous conseille les deux pavés de son autobiographie, magnifique histoire des États-Unis). L’homme qui a remodelé le monde et poussé à la montée des extrémismes religieux en Afrique du Nord, ainsi qu’à la mise au pouvoir des pires crapules en Amérique du Sud et dans les pays pétroliers. Au final, PBS perdra de son courage au moment de la diffusion et annulera le faux documentaire pour ne pas froisser Nixon. Ce court-métrage de 25mn vient d’être mis en ligne. Juste pour le plaisir. Et pour l’histoire.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Dans un paysage audiovisuel français (PAF) déjà saturé de promesses non tenues, T18 s’est lancée avec l’ambition autoproclamée de dépoussiérer la télévision. Résultat ? Une catastrophe retentissante qui, dès ses premiers pas, a transformé cette nouvelle chaîne en cible privilégiée des moqueries.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
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