La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
C’est vrai que le pitch du film le rangerait rapidement dans la catégorie nanar : Abraham Lincoln, le 16e président des États-Unis, se révèle être un violent exterminateur de vampires. Oui mais voilà, Abraham Lincoln, Vampire Hunter est produit par Tim Burton, alors forcément on y réfléchit à deux fois. Le film a été présenté par la Fox à l’Abraham Lincoln Presidential Library and Museum de Springfield (Illinois) la semaine dernière. Toute l’équipe était présente : le réalisateur russe Timur Bekmambetov (Wanted: Choisis ton destin), le scénariste Seth Grahame-Smith (auteur du roman dont s’inspire le film), l’acteur Benjamin Walker qui incarne Abraham Lincoln, et le co-producteur du long-métrage, Jim Lemley. Ne manquait à l’appel que monsieur Tim Burton. Alors le producteur a fait parvenir un message vidéo aussi fou qu’on pouvait l’espérer. Alors, c’est vrai que ça ressemble à un nanar, mais le maître Burton assure que « c’est exactement le genre de film que j’ai envie de voir. » Abraham Lincoln: Vampire Hunter, où l’art de marier les deux modes du biopic et des vampires, sortira le 11 juillet 2012 dans les salles françaises.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
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