La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Cela fait 23 ans que l’on a vu Ed Harris avaler du liquide pour pouvoir explorer les grands fonds océaniques dans The Abyss. Et depuis ce jour, pour certains, l’insondable océan cache le rêve de James Cameron plutôt que l’angoissant aileron de Steven Spielberg. En tout cas ce rêve, cette idée que nous connaissons moins bien les fonds marins que l’espace, a du faire réfléchir le multitalentueux Loris Gréaud. Son projet The Snorks a réunit des experts, des artistes, des scientifiques partout autour du globe pour filmer et même entrer en contact avec les créatures qui vivent sous une pression insoupçonnable et dans un noir absolu. Ces créatures qui communiquent entre elles par la bioluminescence, créant des nuages de lumière visibles de l’espace et qui, selon les experts, serait la forme de communication la plus répandue sur Terre (avant le street marketing). Le film sort cet automne avec les voix de David Lynch et Charlotte Rampling, et la musique de Anti Pop Consortium. Plus qu’un film, The Snorks : a concert for creatures pourrait être le fantasme du 3ème millénaire. Une plongée qui nous montre ce lieux si rare où la science devient art et rêve. Et au passage, un trailer presque aussi beau que le dernier Fincher.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.