La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
The Search n’a pas été particulièrement remarquée à Cannes. Vous ne le verrez pas sous sa forme originelle car son réalisateur, Michel Hazanavicius, a décidé d’en remanier le montage en profondeur. Exit donc le débat sans doute un peu manichéen concernant l’inaction de la Communauté Internationale (et de l’Europe en particulier) face à l’invasion russe en Tchétchénie menée par Poutine (dite seconde guerre Tchétchène). Cette guerre bien que très soigneusement dépeinte (on notera la qualité du choix fait quant au grain de l’image et à la bande son et son mixage) n’est ici qu’un contexte afin de mettre en avant les véritables héros d’une guerre : ceux qui la subissent, les victimes. On croise donc les destins de plusieurs d’entre elles, magnifiquement incarnées par un casting local tout simplement exceptionnel. Abdul Khalim Mamatsuiev et surtout Maxim Emelianov crèvent l’écran. Le premier incarne un enfant de neuf ans qui se voit contraint à la survie, le second un adolescent russe contraint de rejoindre les rangs de l’armée envahisseuse. L’un regagne un peu d’humanité en étant recueilli par une maladroite chargée de mission de l’Union européenne, l’autre, sans cesse humilié et rabaissé par ses supérieurs, perd inexorablement la sienne. The Search est un film chorale, exercice souvent casse-gueule mais ici relativement bien maîtrisé, qui nous replace au centre des notions essentielles : la vie, la mort, l’amour de son prochain, l’empathie, la fragilité d’un destin. Certes le remontage explique l’aspect parfois un peu caricatural de certains de personnages finalement assez secondaires (ceux d’Annette Bening et de Bérénice Béjo) et il subsiste quelques longueurs. Il s’agit néanmoins d’une démarche éminemment louable de la part de l’auteur car il nous offre au sein d’un film singulier (dans un genre souvent caricatural) des tranches de vie extrêmement crédibles. C’est un film qui malgré ses quelques imperfections reste en nous. Un film attachant, comme ses héros, à voir sur grand écran !
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.