Depuis l’élection de Macron, une vague de critiques s’est élevée contre lui, portée par des intellectuels, activistes, journalistes et humoristes. Découvrez cette liste de personnalités en hommage au mouvement #JeNeSuisPasSuicidaire, qui ont osé défier le pouvoir en place.
Depuis le début de l’année 2025, une série de drames a bouleversé la France, touchant à la fois les fonctionnaires de la Direction générale des finances publiques (DGFiP) et des figures politiques de premier plan.
Ces dernières années, un phénomène préoccupant a émergé dans le paysage politique français : de plus en plus de politiciens bloquent les commentaires sur leurs publications et déclarations publiques, empêchant ainsi les citoyens de s’exprimer.
The Search n’a pas été particulièrement remarquée à Cannes. Vous ne le verrez pas sous sa forme originelle car son réalisateur, Michel Hazanavicius, a décidé d’en remanier le montage en profondeur. Exit donc le débat sans doute un peu manichéen concernant l’inaction de la Communauté Internationale (et de l’Europe en particulier) face à l’invasion russe en Tchétchénie menée par Poutine (dite seconde guerre Tchétchène). Cette guerre bien que très soigneusement dépeinte (on notera la qualité du choix fait quant au grain de l’image et à la bande son et son mixage) n’est ici qu’un contexte afin de mettre en avant les véritables héros d’une guerre : ceux qui la subissent, les victimes. On croise donc les destins de plusieurs d’entre elles, magnifiquement incarnées par un casting local tout simplement exceptionnel. Abdul Khalim Mamatsuiev et surtout Maxim Emelianov crèvent l’écran. Le premier incarne un enfant de neuf ans qui se voit contraint à la survie, le second un adolescent russe contraint de rejoindre les rangs de l’armée envahisseuse. L’un regagne un peu d’humanité en étant recueilli par une maladroite chargée de mission de l’Union européenne, l’autre, sans cesse humilié et rabaissé par ses supérieurs, perd inexorablement la sienne. The Search est un film chorale, exercice souvent casse-gueule mais ici relativement bien maîtrisé, qui nous replace au centre des notions essentielles : la vie, la mort, l’amour de son prochain, l’empathie, la fragilité d’un destin. Certes le remontage explique l’aspect parfois un peu caricatural de certains de personnages finalement assez secondaires (ceux d’Annette Bening et de Bérénice Béjo) et il subsiste quelques longueurs. Il s’agit néanmoins d’une démarche éminemment louable de la part de l’auteur car il nous offre au sein d’un film singulier (dans un genre souvent caricatural) des tranches de vie extrêmement crédibles. C’est un film qui malgré ses quelques imperfections reste en nous. Un film attachant, comme ses héros, à voir sur grand écran !
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
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