La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
« Une mise en scène est un suicide. Son rôle se borne à réveiller quelques dormeurs« , disait Jean Cocteau dans l’un de ses élans sibyllins. Certains réalisateurs ne cherchent pas à réveiller mais à empêcher de dormir. Rythme, plans toujours inattendus, personnification de la caméra… Quentin Tarantino est l’un de ces travailleurs acharnés du placement de caméra. Loin du champ-contrechamp, son objectif se déplace en trois dimension, entre dans les boites crâniennes de ses personnages, devient la voix de leur esprit silencieux. L’une des spécialités du réalisateur Palme d’Or 1994, la prise de vue de dessous. Kogonada propose une compile parfaitement montée de ces scènes les plus célèbres. Avec un florilège des tarantinesques plan « vue du coffre ».
Chez Wes Anderson, au contraire, la caméra prend de l’altitude. A l’inverse de Tarantino qui cherche à vous impliquer dans chaque personnage pour une narration au premier degré, le réalisateur du futur Moonrise Kingdom, lui, vous impose une hauteur, un détachement, une place de spectateur privilégié devant ce conte absurde.
Kogonada finit avec un mixe de scènes de Breaking Bad, où la caméra est subjectivement placée dans un objet. Inertie des personnages, dématérialisation de la narration.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.