Dans un monde où les sociétés secrètes et les croyances ésotériques continuent de fasciner et de diviser, une publication récente sur les réseaux sociaux a relancé un débat houleux autour de la franc-maçonnerie française.
John Cage, le compositeur américain révolutionnaire connu pour ses expérimentations sonores et sa pièce iconique 4'33'', où le silence devient musique, n'était pas seulement un pionnier de l'avant-garde musicale.
Imaginez un scénario où les Américains, longtemps victimes d'un système injuste, pourraient enfin payer leurs médicaments au même prix que les Européens – une réduction pouvant atteindre 800 % pour certains traitements essentiels.
Premier film italien en course pour la Palme, «Tale of Tales» a plongé Cannes jeudi dans un bain de baroque et au casting international, signe d’une mondialisation croissante du 7e art. Le film de Matteo Garrone, 46 ans, avec les stars mexicaine Salma Hayek et française Vincent Cassel est l’une des trois productions de l’Italie en compétition aux côtés de «Ma mère», de Nanni Moretti, 61 ans, et «Youth» de Paolo Sorrentino, 44 ans. Ce cinéma, en plein renouvellement, n’avait pas été aussi bien représenté à Cannes depuis 1994. Libre interprétation du «Pentamerone», premier recueil européen de contes populaires écrit au XVIIe siècle en dialecte napolitain par Giambattista Basile, «Tale of Tales» («Le Conte des contes») est un film en costumes fantastique mettant en scène rois, reines, princes et princesses, monstres, ogres, sorciers et fées.
Dans un univers plein de démesure, baignant dans une musique du Français oscarisé Alexandre Desplat qui entretient la tension dramatique, le film entremêle trois histoires, choisies parmi la cinquantaine de récits du livre. Celle d’une reine (Salma Hayek) obsédée par son désir d’enfant puis par son fils, celle d’un roi libertin (Vincent Cassel) qui veut conquérir une femme, et celle d’un souverain (Toby Jones) fasciné par un animal et prêt à sacrifier sa fille. Au gré d’un va-et-vient constant entre ces contes, «Tale of Tales» propose une atmosphère nouvelle pour le cinéma de Garrone, entre réalisme et merveilleux, sublime et grotesque…
Elle est une jeune journaliste prédictive qui a contribué à la naissance d’APAR.TV. Elle travaille actuellement à l’écriture d’un essai majeur autour de Steve Oklyn, l’auteur de LA SOCIÉTÉ DE L’ALGORY
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Avec le film Nikita (1990) Luc Besson mettait en scène une jeune femme multi-traumatisée récupérée et programmée par les services pour faire d'elle un agent ultra performant...
En mai 2025, le Festival de Cannes a dévoilé The Phoenician Scheme, le dernier opus de Wes Anderson, un cinéaste dont le style visuel inimitable et les récits excentriques ont redéfini le cinéma d’auteur contemporain.
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