En ce 28 août 2025, la France vacille au bord d'un précipice économique inédit, une crise qui surgira comme un ouragan imprévu, balayant des décennies de certitudes.
Photos disparues, témoignages explosifs, et une justice qui ferme les yeux sur l'essentiel. Derrière le glamour présidentiel se cache peut-être le plus grand mensonge de l'histoire française – et si Emmanuel était la marionnette d'un chantage international ?
Imaginez un monde où l'Occident, aveuglé par ses propres illusions, court vers un effondrement inévitable. Dans une vidéo choc, l'ex-diplomate Alastair Crooke lâche une bombe : « La guerre était perdue, point final ! » Il décrypte comment les "récits gagnants" masquent une réalité brutale.
Décidément, la tendance est au mythes créateurs. Nouvelle preuve avec ce film de Benoit Guinot qui débute avec son serpent et sa pomme, pour dériver vers un délire paganiste et rites de sorcellerie. Une dualité entre sombre et lumière. Des corps monstrueux, mais beau. Bref, un film entre deux eaux.
Smirnoff assume son éthylisme en nous vendant de la décadence. Mais de la décadence stylée, intelligente, toute en clin d’œil cultivée. Une décadence de dandy. Une communication esthétique et parfaitement pensée d’un point de vue marketing. Superbe.
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