La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
C’est le parcours typique de l’artiste moderne. Un parcours à l’image d’une époque qui tend à rendre le pouvoir à la rue. Au moins en apparence. Stephen Powers était graffeur. Ce qui veut dire nuits blanches, sac à dos plein de bombes et courses poursuites avec les autorités. En 1999, il se consacre définitivement à l’art et devient donc un street artiste (ce qui peut se traduire par artiste de rue ou artiste à la rue selon la notoriété). Et comme tous ses collègues, Stephen Powers se tourne de plus en plus vers les mots. Son exposition, A Word is Worth a Thousand Pictures à la Joshua Liner Gallery de New York, nous permet d’admirer son art rétro et subversif.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.